Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point

Lors de ma scolarité je me souviens d’un cours « d’éducation à l’amour » que j’ai reçu, cours dispensé par une des « dames cathé » – vous l’aurez deviné à ce stade, j’ai eu une scolarité privée et catholique…

Elle nous avait donné l’image d’un bateau pour savoir si nous étions « prêtes » (à l’engagement avec un garçon sous-entendu). Il fallait que les trois parties essentielles d’un bateau poussent dans le même sens : le gouvernail (la tête, notre raison), la voile (le cœur, la passion amoureuse) et la coque (le corps, la maturité physique).

L’image m’avait bien fait sourire à l’époque, mais est plutôt efficace puisque des années après je m’en rappelle encore et me suis dit que cela pouvait aussi s’appliquer à mes soirées actuelles :

Sauf qu’à la fin c’est le corps qui craque ! Car en ce moment (même si c’est mieux que lors du premier trimestre où j’avais un maximum de 2h d’autonomie), le soir je m’endors encore avec les poules…

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