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Ragnagna des Bois Jolis

O.B.N.I. (Objet Bloguesque Non Identifié)

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Étiquette : Suzhou

Faut pas pousser le pousse-pousse !

par Ragnagna le 25 mai 201230 octobre 2014 dans Au fil du crayon, Carnet de voyage, Chine
Extrait du Lotus Bleu

Avant ce voyage, la plupart de mes connaissances de la Chine me venait de la lecture des aventures de Tintin dans le tome Le Lotus Bleu. Une image un peu vieillotte et bien périmée, surtout dans un pays en mutation aussi rapide.
Pour moi la Chine se résumait presque uniquement à la réplique-culte « Lao-Tseu a dit, il faut vous couper la tête ! » (à prononcer avec une voix nasillarde de préférence) et à une multitude de pousse-pousses.

Impossible de passer inaperçus

Et pour ce second point, je dois avouer que je n’ai pas été déçue. Pas déçue du tout même ! Des pousses-pousses, il y en avait partout ! Surtout à Beijing autour de notre hutong. C’était même à dire vrai une pure plaie pour le Chti et moi. Avec nos gueules de métèques, de juifs errants, de pâtre grec ♫ de caucasiens, nous sentions bon le client et étions en permanence interpellés, voir suivis dans la rue. Devoir se retourner tous les trois pas pour décliner poliment avec le sourire l’entreprenant, puis le solliciteur suivant et encore le suivant, était super lassant (pour rester polie).

Le code de la route chinois

7 jours durant nous avons donc décliné leurs propositions. L’idée de nous faire tirer par un type en vélo comme des sacs à viande nous gênait trop. Cependant ce n’était pas la seule motivation de notre refus. En effet au bout d’une journée en Chine, nous avions complètement intégrer leur code de la route : le bus et le camion écrasent la voiture, la voiture écrase la moto ou la mob, la moto ou la mob écrasent le vélo, le vélo écrase le piéton et le piéton quand à lui essaye juste de survivre au milieu de tout ça.

Où comment le voyage aurait pu finir plus tôt

A Paris, c’est un duel: le piéton se met devant la voiture et la toise de haut tandis que la voiture ralentit ou le contourne en maudissant ce retardateur. En Chine, c’est un massacre : le piéton ne court pas assez vite devant la voiture, il se fait rouler dessus ! Avec mes vilaines habitudes de Parisienne, j’ai voulu jouer à kikiresteledernier avec un bus. J’ai perdu. Le Chti m’a tirée en arrière tandis que les passagers du bus criaient à travers la vitre et me faisaient des signes. Le chauffeur de bus n’a ni freiné, ni tenté de me contourner, c’est limite s’il n’a pas mis en route les essuies-glaces pour nettoyer après l’impact…

Pousse-pousse en mode pluie

En tant que piéton, tant que l’on reste sur le trottoir, on est à peu près en sécurité. Il faut juste se plaquer contre les murs à chaque klaxon poussif, à chaque grincement de vieux vélos. Si vous êtes assez rapide, presque pas de danger. Mais en vélo c’est autre chose, si la majorité des routes ont de belles (vraies) voies cyclables, les croisement sont effrayants entre les véhicules motorisés et les vélos. Une jungle sans pitié.
Alors prendre une petite nacelle sur roues avec trois bouts de métal tenant un tissu pour protéger du soleil et de la pluie, très peu pour moi ! Je ne suis pas un cheval, les œillères ne fonctionnent pas avec moi, je tiens à la vie !

Vous m’avez compris, il a vraiment fallu que nous soyons désespérés à l’idée de rater notre train pour revenir sur notre résolution et être prêts à prendre un pousse-pousse pour rejoindre la gare de Suzhou. J’étais en train de m’user les yeux à comparer les idéogrammes de mon plan et ceux des 200 arrêts de bus de 10 lignes de bus différentes quand le pousse-pousse s’est présenté. Le Chti et moi échangeons un regard, c’est entendu, on est prêt à tout pour rentrer !

Je montre au chiffu notre destination sur le plan, craignant qu’il nous dise que c’était trop loin. Il regarde, hoche la tête et nous dit 5 de la main puis 0 (à la chinoise, qui ressemble beaucoup à la française heureusement, les cinq doigts tendus puis en forme de O). Nous grimpons dans le pousse-pousse. Avec les sacs et mes grosses fesses c’est étroit. C’est parti. Le vélo s’ébranle lentement. Il semble peiner. Nous nous sentons comme des touristes bêtas et impotents, on ne sait plus trop où se mettre. Le vélo prend de l’élan. Le chiffu est prêt à tout risquer pour éviter de freiner et de devoir redémarrer. Le soleil tape toujours très fort, il sue sous sa casquette. On a vraiment pitié pour lui.

Le Chti me demande si on va bien au bon endroit. Confiante je lui dis que oui, que j’ai montré la gare sur la carte au chauffeur. Le Chti regarde ce que je montre du doigt. « Aki, tu as montré la gare routière… Pas ferroviaire ». Oups… Au premier arrêt du vélo, je tapote l’épaule du chiffu. Il se retourne, je lui montre la bonne gare. Il me fait OK de la tête et me fait 6 de la main (à la chinoise, en France ce signe veut plutôt dire je te téléphone).

La gravité joue contre le courageux shiffu

C’est reparti, cette fois vers la bonne destination. Heureusement que le Chti me connait bien… Douloureusement le vélo avance. L’heure tourne. Progressivement le vélo prend un nouvel élan vite brisé par une violente côte. Le chiffu plie sa casquette dans sa poche. Il luit de sueur. Il attrape sa gourde de thé et boit goulûment. Nous souffrons pour lui, on aimerait descendre pour l’aider à pousser, voir relayer à la pédale. Il descend de la selle et hisse le pousse-pousse en tirant une hanse latérale. Nous arrivons au sommet du pont. Il regrimpe sur sa selle.

À la sortie du pont, la piste cyclable s’engouffre dans un tunnel. Le chiffu essaye de gagner le maximum de vitesse possible. Nous ressortons de l’autre côté. Il faut remonter la pente. Debout sur ses pédales, le chiffu peine à nous faire avancer. Nous arrivons au milieu d’un carrefour énorme. Autour de nous deux grandes 8 voies se croisent. Les scooters et les vélos traversent dans tous les sens tels des abeilles agitées. Les voitures vrombissent, se préparant au feu vert. Et nous, on est là, au milieu. Le chiffu est penché sur son guidon, tendu dans l’effort.

Et là, on fait pas les malins !

C’est à ce moment que j’ai fermé les yeux, me suis serrée contre le Chti et j’ai attendu…

Une dizaine de minutes après, nous arrivons face à la gare. Il tire la barre de frein sous le cadran du vélo, le vélo grince et tremble puis s’arrête. Soulagés d’être vivants, heureux d’être à l’heure, honteux de lui en avoir tant fait suer, nous lui avons donné 100¥ en remerciement au lieu des 60 demandés (10€ au lieu de 6€) avant de courir à la gare attraper notre train où nous nous sommes (pour changer) affalés comme des paresseux !

Extrait du Lotus Bleu
Extrait du Lotus Bleu
Impossible de passer inaperçus
Impossible de passer inaperçus
Le code de la route chinois
Le code de la route chinois
Où comment le voyage aurait pu finir plus tôt
Où comment le voyage aurait pu finir plus tôt
Pousse-pousse en mode pluie
Pousse-pousse en mode pluie
La gravité joue contre le courageux shiffu
La gravité joue contre le courageux shiffu
Et là, on fait pas les malins !
Et là, on fait pas les malins !

La petite Venise de l’Orient

par Ragnagna le 22 mai 201230 octobre 2014 dans Au fil du crayon, Carnet de voyage, Chine

上有天堂,下有苏杭
shàng yǒu tiāntáng, xià yǒu sū háng

« Il y a le paradis au ciel. Et sur terre, il y a Suzhou et Hangzhou. »

Le soleil caresse nos visages, j’étire mes jambes machinalement. Plus que trois jours en Chine… Nous profitons un peu de la matinée avec les enfants et Vincent avant de partir tous les trois, Vincent travaille ce samedi pour compenser le pont du 1er mai. Le Chti et moi partons de notre côté pour la gare de Hongqiao (« pont de l’arc-en-ciel »), notre train part à 9h09. En réalité, évènement exceptionnel paraît-il, notre train a 25 minutes de retard.

Suzhou, ville de jardins et d’eau

Au programme du jour Suzhou, une des plus anciennes villes du bassin du Yangzi Jiang (le Fleuve Jaune). Je glane quelques informations dans mon guide pendant le trajet: la ville a toujours été très prospère grâce au commerce de la soie. Longtemps appelée capitale de la soie, la route de la soie commençait à Suzhou. Marco Polo, dans le récit de son voyage Devisement du monde, raconte que Suzhou compte plus de 6000 ponts sur ses canaux (je vais fouler le même sol que Marco Polo !). La ville est traversée par de multiples canaux sur lesquels les ballots de marchandises étaient acheminés. Au temps de sa splendeur Suzhou comptait plus de 260 jardins privés, aujourd’hui une douzaine de ces jardins sont ouverts au public dont huit sont classés au patrimoine de l’Unesco. Les noms de ces jardins sont plein de promesse et de mystères. Mes préférés : le jardin de l’Humble Administrateur, le jardin de la Forêt du Lion, le jardin du Maître des Filets, le jardin du Pavillon des Vagues, le jardin de la Montagne étreinte de Beauté, le jardin Attardez-Vous et en dernier, mon chouchou, le jardin du Couple retraité.

Notre train entre en gare avec 50 minutes de retard cumulé, mais il en faut plus pour attaquer ma bonne humeur ! Le soleil est au rendez-vous et le programme alléchant. Trente minutes plus tard, nous sommes encore en train de tourner dans la gare et à chercher une indication ou un sens pour nous diriger et rejoindre la vieille ville. Ma bonne humeur est légèrement égratignée, mes mollets sont toujours fatigués de la Grande Muraille. De guerre lasse, nous nous résignons à prendre le taxi. Heureusement que les guides indiquent le nom des monuments en chinois, c’est mon unique moyen de me faire comprendre.

Première visite pour le Temple du Nord, nous prévoyons d’enchaîner sur le musée, des jardins et la grande rue commerçante Pingjiang Lu. Nous avons jusqu’à 16h30 pour nous balader dans la ville.

Premier aperçu du Temple

Fondé au 3ème siècle pendant la période des Trois Royaumes, ce temple bouddhiste était un hommage du roi Sun Quan à sa maman (véridique, désolée maman mais moi j’ai pas les mêmes moyens !). Reconstruit de multiples fois, il est aujourd’hui la plus haute pagode de la région et culmine à 76m de haut. Il compte 9 étages, chiffre très utilisé en Chine car homonyme en chinois du mot « durable » et associé aux dragons (à l’inverse du chiffre 4, homonyme du mot « mort » ; raison pour laquelle les étages en Chine saute le chiffre 4 et passe donc du 3e étage au 5e, du 13e au 15e, etc.). Au bout de chaque pans de toit, les cloches tintent à chaque frémissement de vent, leurs sons sont sensés attirer les bons esprits. A l’entrée du temple un Bouddha rieur accueille les visiteurs, son ventre et sa bonhomie symbole de prospérité.

Lâchement nous ne faisons que nous promener autour de la pagode, profitant de la paisibilité de son parc. Je commence tout juste à pouvoir aligner deux pas sans grimacer de douleur, il faut préserver mon capital genoux !

Une fois sortie du Temple, il faut à nouveau marcher à travers la ville et sous un soleil de plomb pour rejoindre le reste de la zone touristique ancienne. La transition se fait en douceur avec le musée de Suzhou, inauguré en 2006. Musée dont les plans ont été tracé par Ieoh Ming Pei, architecte réputé qui a commis entre autre la si controversée pyramide du Louvre. Le plan reprend les proportions des maisons blanches et grises traditionnelles de Suzhou. Nous profitons de son jardin, constitué d’un grand bassin, pour nous reposer à l’ombre du petit pavillon rafraichi par un léger souffle de vent qui agite les bambous derrière nous. Goguenard, nous observons un touriste cherchant à récupérer à l’aide d’une épuisette la paire de lunette de soleil qui avait sombré suite à un mouvement maladroit.

Et avec 700 bonsaïs, il a du boulot l’Administrateur !

Nous nous retrouvons à nouveau dans la rue, le soleil est toujours aussi fort, nous cherchons encore une fois notre chemin. Nous trouvons l’entrée du premier et du plus grand jardin de Suzhou, le jardin de l’Humble Administrateur. Son nom est une allusion à la phrase du lettré Pan Yue « Cultiver son jardin et vendre sa récolte de légume… est la politique de l’homme humble« , soit grosso merdo: pour terminer sa vie paisiblement, concentre-toi sur ton jardin, loin de la politique.
Le parc est immense, plus de 5ha. Sans plan, je m’y suis (aussi) perdue et n’ai pas pu réussi à faire le lien entre les éléments d’explications du guide et ce que nous voyons. J’ai pourtant beaucoup aimé me promener dans ces allées sinueuses et fraîches où à chaque détour se trouve une nouvelle surprise. Nous avons savouré ces moments de quiétude, malgré le monde qui se pressait autour de nous.

Devanture d’une boutique

Mais tandis que nous cédons à l’oisiveté, le temps tourne. Il faut repartir, cette fois nous sommes à la recherche de Pingjiang Lu. Je suis de plus mandatée pour trouver des petites cuillères en bambou dans une boutique de cette rue ! Comme toujours, la route pour l’atteindre sur le plan semble facile et rapide, en vrai après quelques retours sur nos pas et quelques hésitations devant l’air en ruine de la rue que nous devions emprunté, nous sommes arrivés dans la partie chic de Pingjiang Lu. La rue est effectivement pimpante, les boutiques sont nombreuses et attirantes, et les nombreux passants flânent avec nous.

Remonter les rues piétonnes pour un taxi

Mais il est 16h, déjà. Il faut retourner à la gare, remonter la rue pour trouver un taxi. Nous nous pressons au nord pour sortir de la vieille ville dont les rues sont interdites au voiture. Tous les taxis que nous croisons sont pris. Le temps tourne et l’heure avance. Je commence à m’inquiéter et essaye de trouver un bus, cependant dans une liste de 40 noms uniquement en idéogramme chinois, comment retrouver celui qui correspondrait à la gare (苏州站) ?! Sous l’emprise de la panique et malgré nos répulsions face à ce moyen de transport étrange, nous cédons enfin au démarchage insistant d’un chauffeur de pousse-pousse qui propose de nous y emmener. Mais ça c’est toute une histoire à part entière !

Suzhou, ville de jardins et d'eau
Suzhou, ville de jardins et d’eau
Mon carnet de souvenirs chinois
Mon carnet de souvenirs chinois
On se dégonfle face à la pagode
Des koïs de compet' au jardin du Humble Administrateur
Des koïs de compet’ au jardin du Humble Administrateur
Des parcs propices à la farniente
Des parcs propices à la farniente
Nos billets de train
Nos billets de train
Les billets-cartes-postales du Temple du Nord
Les billets-cartes-postales du Temple du Nord
Plan du musée de Suzhou
Plan du musée de Suzhou
Billets du jardin de l'Humble Administrateur
Billets du jardin de l’Humble Administrateur
Bouddha le rieur, porteur de prospérité et d'abondance
Bouddha le rieur, porteur de prospérité et d’abondance
Premier aperçu du Temple
Premier aperçu du Temple
L'entrée du temple
L’entrée du temple
76m, c'est haut
76m, c’est haut
Le tintement des cloches attirent les bons esprits
Le tintement des cloches attirent les bons esprits
Les croyants allument des bougies avant d'entrer
Les croyants allument des bougies avant d’entrer
Les bâtons d'encens parfument l'air
Les bâtons d’encens parfument l’air
Plum garden et ses petits sentiers
Plum garden et ses petits sentiers
La maison de thé dans le parc du temple
La maison de thé dans le parc du temple
Le rond symbolise le Ciel, le carré la Terre
Le rond symbolise le Ciel, le carré la Terre
Un koï géant (un bon 80cm)
Un koï géant (un bon 80cm)
Des surprises à tous les coins et recoins
Des surprises à tous les coins et recoins
Une zone fleurie, chose pas si commune en Chine
Une zone fleurie, chose pas si commune en Chine
Des petites barques décorent les rivières
Des petites barques décorent les rivières
Détails du pont
Détails du pont
Un pavillon perdu dans une forêt
Un pavillon perdu dans une forêt
Le pont en Z empêchent les mauvais esprits de passer
Le pont en Z empêchent les mauvais esprits de passer
Mon pavillon préféré
Mon pavillon préféré
Avec ses magnifiques carreaux bleus
Avec ses magnifiques carreaux bleus
700 bonsaïs, il a du boulot l'Administrateur !
700 bonsaïs, il a du boulot l’Administrateur !
Les petites mains chinoises époussettent
Les petites mains chinoises époussettent
Remonter les rues piétonnes pour un taxi
Remonter les rues piétonnes pour un taxi
Un petit livre rouge laissé au bord du canal
Un petit livre rouge laissé au bord du canal
Des barges font taxi dans la vieille ville.
Des barges font taxi dans la vieille ville.
Une maison de thé
Une maison de thé
Séance photo pour un jeune couple avec les moyens du bord
Séance photo pour un jeune couple avec les moyens du bord
Devanture d'une boutique
Devanture d’une boutique
Autre devanture d'une boutique
Autre devanture d’une boutique
Les voies sur berge de Suzhou
Les voies sur berge de Suzhou
Reflets sur l'eau
Reflets sur l’eau
La maison des chats
La maison des chats
Nettoyage du canal à l'épuisette
Nettoyage du canal à l’épuisette
L'art de vivre à la chinoise
L’art de vivre à la chinoise
Les premiers livres que l'on voit servent de bar
Les premiers livres que l’on voit servent de bar
Une touriste écrit ses cartes postales
Une touriste écrit ses cartes postales
Dans une rue à l'écart, une femme fait son linge au puit
Dans une rue à l’écart, une femme fait son linge au puit

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