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Ragnagna des Bois Jolis

O.B.N.I. (Objet Bloguesque Non Identifié)

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Catégorie : Une vie de souris

Au travail, dans la rue, en vacances, à la plage, suivez la vie d’une souris pleine de surprises !

Un fantôme m’a tuée (version Ragnagna)

par Ragnagna le 31 janvier 201230 octobre 2014 dans Au fil du crayon, Ma L♥uve Story, Une vie de souris

J’étais dans une colonie vieillotte et austère tenue par des sœurs depuis plus de 42 ans. Une nouvelle professeur venait d’arriver et jugeait l’organisation archaïque et dépassée, elle s’était alors arrangée pour évincer les sœurs et les renvoyer dans un couvant, loin des enfants et se mit en tête de moderniser les installations et les activités.

Mais, au fur et à mesure du temps, des phénomènes bizarres se produisaient, et de plus en plus régulièrement. Ainsi une fille après avoir été poursuivie par un être invisible jusque dans sa chambre ne dut sa survie qu’à son intelligence: acculée sous la fenêtre et toutes les issues bloquées par l’être, elle modula le son strident de sa peluche en forme de nuage et le sifflement de la bouche d’aération de sa chambre en tirant alternativement sur les cordelettes. L’agresseur, surprit, relâcha sa pression et elle put s’enfuir par la porte et rejoindre les autres enfants sans être rattrapée.

Mais de la même façon, les enfants se retrouvent acculés au dernier étage de la vieille bâtisse, dans une chambre avec un grand escalier. Les fantômes montaient les marches en riant et grognant pour nous effrayer. Pour essayer de se défendre, du Coca-Cola est répandu sur le sol pour que les fantômes s’y collent, nous nous roulons même dedans en espérant ainsi glisser dans les mains des fantômes. Malheureusement, cela ne retient pas les fantômes, coincés contre le mur, nous ouvrons la fenêtre et nous nous enfuyons par le toit à la lumière du jour. L’enfant qui nous mène rigole comme une hystérique et me retient en arrière, m’empêchant de courir plus vite.

Effrayés par ce que nous avons vécu dans la bâtisse, nous restons dehors, dans un cloître, sous la protection de l’homme à-tout-faire. Son physique est malingre, plié sous le poids d’un secret et du malheur. Cependant les fantômes continuent de nous poursuivre et essayent de nous mener sous un porche spécifique qui nous transformerait comme eux. L’homme à-tout-faire courageusement les y attire un par un, s’utilisant comme appât afin de les mener sous ce porche. Les fantômes sont alors transformés à leur tour, le premier en chapelier fou qui s’enfuit en pédalant comme un fou sur une bicyclette et le second en lapin pressé d’Alice au Pays des Merveilles.

Face à cette situation critique, les sœurs sont rappelées et ramènent l’ordre dans la colonie de vacances. Pour que cela soit durable, elles donnent aux fantômes ce qu’ils souhaitaient : longtemps auparavant, l’homme à-tout-faire avait sauvé des fantômes une fille qui était depuis devenue une des professeurs. Cette jeune prof blonde et bouclée à l’air doux, aurait dû être morte et en conséquence les fantômes cherchaient leur soeur.

La situation apaisée, c’était la fin de la colo. Julien visitait ma chambre sous le toit tandis que je finissais mes valises. En remarquant sur une table des traces de doigts blanches enfoncées dans le bois, je lui avoue ne pas savoir l’origine de cette trace. Il me sourit et me répond que cette trace datait de la nuit où en dormant j’avais parlé avec un fantôme dans mon sommeil. Vu ma somniloquie, cela ne m’étonne pas que je parle en dormant avec un fantôme, en revanche l’idée me donne des sueurs froides.
Inquiète j’observe ma chambre, et je vois que les vieux tableaux poussiéreux étaient plus nombreux qu’au début, que les têtes dans les cadres changeaient tout en me grimaçant et en me regardant. Effrayée, je recule tandis que Julien reste dans l’entrée sans voir de changement.

Soudainement, une main invisible me bâillonne tandis qu’un autre bras m’entoure et me traîne au fond de la chambre, en haut de l’escalier. Les yeux écarquillés, j’essaye de crier, d’appeler à l’aide Julien qui me tourne le dos, indifférent à la situation.Le fantôme me susurre et singe à mon oreille « Ouuuh toi tu es une invité d’honneur, toi, tu as une chambre avec antichambre ! Moi je suis pas importante, j’ai juste une petite chambre entre deux chambres, ouuuuh moi je suis pas importante ! ». Et là le fantôme me relâche dans l’escalier, la tête la première…


Donc primo, j’ai des rêves bizarres. Secundo, ils ont aucune logique. Tertio, quand je dors, la concordance des temps passent aux oubliettes je crois.

La magie de l’hiver

par Ragnagna le 26 janvier 201230 octobre 2014 dans Au fil du crayon, Une vie de souris

L’hiver est une saison difficile et longue dans nos régions tempérées, surtout vers la fin, quand le printemps se fait attendre. Le temps maussade, la grisaille, la pluie, le manque de lumière, le monde est plongé dans une profonde léthargie pendant plusieurs mois et les matins sont difficiles.
Pour lutter contre cette morosité, je me concentre au quotidien sur mes petits plaisirs hivernaux :

Depuis mon enfance, chaque hiver, tel Gandalf, j’essaye de sculpter la vapeur d’eau sortant de ma bouche pour former un bestiaire fantastique.

Et bonne année du Dragon d’Eau à tous !

Hors normes

par Ragnagna le 19 janvier 201222 septembre 2017 dans Billets d'humeur, Une vie de souris

C’était il y a peu, au boulot, mon collègue me décrivait ses ex-copines, des filles un peu extrêmes, vraiment bizarres. Compatissante comme je suis, j’étais juste explosée de rire sur mon bureau, grognant très dignement. Quand j’ai enfin repris mon souffle, je lui ai demandé « Mais pourquoi tu sors pas avec des nanas normales ? Je sais pas, des nanas comme moi, pas droguées, pas fanatiques, … ?! ». Et là il m’a juste bien soufflé en répondant spontanément « Mais t’es pas normale toi ! ».
Des vieux souvenirs me sont revenus, j’ai arrêté de rire. Moi qui pensais que la période où l’on m’appelait « E.T. » était finie et loin derrière moi…

Enfant, j’étais ce que l’on appelle un garçon manqué. Je tapais ceux qui me manquaient de respect au lieu de crier, je détestais les poupées, j’adorais les histoires d’aventures, je jouais au Lego avec mes frères, je hurlais quand on me forçait à porter une robe, je me chamaillais avec mes frères pour avoir la Game Boy (d’ailleurs quel nom à la con quand on y pense), j’avais les cheveux courts, etc. Je pourrais multiplier les exemples à l’infini, d’ailleurs avant que la puberté ne se fasse sentir, on se trompait souvent sur mon sexe quand on ne me connaissait pas.
Ajoutez à cela une absence totale de culture générale « classique » : sans télévision et sans intérêt pour les people, j’étais regardée comme une alien dès que je demandais ce qu’était le principe de « Tournez Manège » ou qui était « Christina Aguilera ». Bref, mes amies me surnommaient affectueusement E.T.

Depuis, la puberté c’est fini tant bien que mal, je suis loin d’être une « femme », voir même une « fille » mais j’ai les cheveux longs ! Je pensais être un peu entrée dans la « normalité », sans pour autant être l’archétype féminin, mais il semblerait que non.
Et finalement tant mieux car si je ne suis pas la femme parfaite, j’ai la chance d’avoir trouvé un homme formidable que j’aime et qui m’aime, moi, mes bourrelets et mes poils. Et la « normalité », je l’emmerde car on est tous différent à notre façon.

J’ai eu envie de râler un peu quand :

  • j’ai lu ici que le « professeur » Dukon Dukan a voulu faire mousser autour de son livre dans les médias en lançant l’idée la plus stupide de ce début 2012 (donner des points bonus aux personnes ayant un IMC dans la norme admise médicalement).
  • j’ai vu ici la nouvelle gamme rose « pour filles » de Lego jouant sur les caricatures j’aime les animaux/je veux être une star auquel Nintendo nous avait habitué grâce à la super collection Léa Passion et hypersexualisant les jouets, des Legos avec des poitrines nan mais franchement ? A quand la bosse de la quéquette pour les garçons ?!
  • j’ai entendu ma nièce adorée me dire que Cars c’était pour les garçons
  • j’ai entendu une jeune fille dans le métro dire à sa mère, pleine d’assurance du haut de ses 19 ans et demi, que dans un couple, la femme ne devait pas se relâcher pilairement parlant et surtout pas au début de sa relation (c’est sur que pour un homme voir un poil, c’est effrayant voir traumatisant…)
  • j’ai vu l’arrivée des geekettes-poufs(1) dans les jeux en ligne (tu sais celle qui va draguer tous les mecs -dont ton copain- pour avoir des items et foutre une ambiance de merde ?)…
  • je ne parle même pas de la tendance proud to be geek or « geekette », lâchez moi les baskets !
  • qu’une école primaire avait du interdire dans son règlement les mini-jupes, maquillage et talon haut.
  • etc !

(1) Mon correcteur orthographique corrige « geekettes-poufs » par « serviettes-éponges »! J’adore les auto correct fails !

Pour vivre à Paris, il faut un cœur de pierre ou des nerfs d’acier

par Ragnagna le 11 janvier 201230 octobre 2014 dans Au fil du crayon, Billets d'humeur, Une vie de souris

Je suis née à Paris, j’ai toujours vécu à moins de 30 minutes de Paris et cela fait 7 ans que je vais quotidiennement y travailler. Je pensais être armée pour affronter cette ville, pour y  ignorer l’agressivité des gens, leurs nuisances, la saleté, la misère… Orgueilleuse que je suis, en une pichenette ma carapace a fondu.

Ce soir, j’ai la rage contre cette bonne femme qui m’a engueulée avec son air prétentieux car (tenez vous bien, quelle nulle je suis !): je n’ai pas forcé  la porte du tramway quand le chauffeur a forcé la fermeture des portes… Je sortais du boulot, quand le tram arrivait, j’ai couru mais j’ai été gênée par un petit devant moi qui rentrait tout doucement dans le wagon avec son papa, la porte se fermait déjà sur le père d’ailleurs. J’ai tenté de redemander l’ouverture en appuyant sur le bouton et en repoussant la porte, mais le chauffeur avait décidé que non je resterais dehors.

J’aurais pu mettre ma tête dans la porte pour bloquer, voire la mettre sur les rails, malin nan ? Il aurait été bien obligé de ne pas partir (ou alors j’aurais raté mon train mais lui ne m’aurait pas ratée…). Sauf que non, je me suis résignée, tant pis j’ai raté mon tramway à une micro-seconde, j’attendrais le suivant, même s’il est 18h et que je suis pressée de rentrer, comme toute le monde…

Madame Grognasse est alors arrivée à bout de souffle, me toise de haut et lâche méprisante « Mais quelle godiche, espèce de gourde ! ». J’étais fatiguée, ça m’a blessée.

J’aurais eu un esprit affuté, une langue acérée, j’aurais pu répondre à cette baleine qu’elle n’avait qu’à courir plus vite… Mais rien ne m’est venu, à part quelques balbutiements de protestation trop faiblards.
Le cœur lourd de rage, je me suis éloignée, tout ce que j’avais envie de faire, c’était revenir vers elle pour l’insulter vulgairement, pour soulager mon humiliation.

J’ai eu le même pincement au cœur, le même serrement à la gorge, que quand enfant on m’engueulait à tort pour une bêtise d’un de mes frères. Le sentiment cuisant de l’injustice.

Bref ceci est un message pour la pétasse qui m’a insultée car sa grâsseuseté refusait d’attendre 3 minutes sur un quai et aurait préféré que je balance un mioche sur la voie.

Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué

par Ragnagna le 7 janvier 201230 octobre 2014 dans Au fil du crayon, Ma vie en ligne, Une vie de souris

Je rentrais de mon éreintante journée, je parcourais les derniers articles de la blogosphère tranquillement quand je suis tombée sur cette note chez Pipou : clic ! Et là, c’est le drame…

Finalement, je comprenais juste mal l’indication « stock », pour moi c’était le stock de vaisselles propres. D’où mon énorme incompréhension. Merci Pipou et Flodoux pour la migraine, et le Chti pour sa patience à m’expliquer…

Et retiens ami lecteur cette leçon avec moi: il vaut mieux toujours tourner 7 fois sa langue dans sa bouche avant de l’ouvrir !

Non, la fève n’a aucun lien avec l’article, c’est juste pour me la péter : j’ai eu la fève dans ma mini-galette avec le Chti et elle est trop belle ! J’avais une chance sur deux certes, mais laissez-moi toute à ma joie !

Séance d’hallucination gratuite, pour toi lecteur

par Ragnagna le 5 janvier 201230 octobre 2014 dans Au fil du crayon, Une vie de souris

Avant de vous présenter le dessin du jour, il faut savoir que le Chti et moi sommes deux férus d’univers fantastiques, nos enfances ont été bercées par la mythologie et la fantasy. D’où parfois on se pose des questions un peu bizarroïdes.

Eh oui chez Ragnagna, ce sont les effets de l’alcool sans alcool et sans gueule de bois ! Ne me remerciez pas !

Par curiosité, dites-moi, quelle créature fantastique choisiriez-vous, vous ?

Bonne année 2012

par Ragnagna le 1 janvier 201230 octobre 2014 dans Au fil du crayon, Une vie de souris

Et une bonne santé !

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