J’aurai voulu disserter sur le sujet mais je n’ai pas le temps. Je vous avais parlé de mes déboires de travail durant la grossesse (licenciée, des propositions de CDI puis de CDD bizarres par un patron ripou, etc.).
Depuis, ne sachant pas moi-même ce que le lendemain allait être, je n’en avais plus reparlé savourant la jolie parenthèse (bien occupée) de mon congé maternité puis parental.
Courant septembre, la question se reposait pressement mais je n’avais toujours pas envie de confier notre petite Lucie si souriante et exigeante pour ne la revoir que 2h par jour. Alors j’ai fait le choix de travailler à la maison et de devenir « mam’entrepreneuse » (oui c’est plus chic de dire comme ça on m’a expliquée !).
Depuis j’apprends à conjuguer travail et maman : sauter dans tous les sens entre ménage, bébé et travail, exploiter chaque minute des siestes de Lucie, ruser pour la distraire et l’occuper tout en finissant une tâche. Une course sans relâche qui me donne la chance de pouvoir rester à côté d’elle pour l’accompagner dans ses découvertes, tant qu’elle a besoin de moi.
Un gros merci au Chti de rendre cela possible, pour Lucie et pour moi.