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Ragnagna des Bois Jolis

O.B.N.I. (Objet Bloguesque Non Identifié)

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Étiquette : accouchement

Un réveil au petit matin pour un maxi koala

par Ragnagna le 26 octobre 20189 novembre 2018 dans À la maternité

Autant la naissance de Lucie avait été éprouvante et angoissante, autant celle de Chti-Rex a été à son image : paisible et calme.

L’ambiance est en effet très différente entre une césarienne en urgence au cœur de la nuit et une césarienne programmée avec l’aube, même si ce fut avec le même praticien et dans la même salle d’opération pour les deux…

Il y a deux semaine déjà Chti-Rex a été sorti de mon ventre et Erwan est né, un beau « gaillard » comme aurait dit mon grand-père paternel avec ses 4070g et 53cm !

Quasiment le double du poids de sa sœur à la naissance, autant vous dire que ça nous fait bizarre ! Grande sœur qui pour le moment est incroyablement fière de son petit frère et m’a déjà confié qu’elle souhaitait qu’on le garde avec nous comme Nifhel…

Bienvenue Erwan !

L’attente…

par Ragnagna le 28 septembre 201829 septembre 2018 dans Troisième trimestre de grossesse

Il reste deux semaines avant ma DPA (date prévue de l’accouchement). Ni le lit ni la table à langer ne sont montés, les valises pour la maternité ne sont pas finies, je ne suis pas encore du tout dans l’ambiance ! Comme un déni d’accouchement…

Quelle contraste par rapport à Lucie où j’avais mis une pression pas possible au Chti pour tout préparer un mois en avance ! Ce coup-ci je laisse venir tranquillement, on se débrouillera et s’adaptera au moment voulu, sereinement.

Mais si face à cette attente de chaque instant j’ai pris mon parti de ce gros bidou encombrant et si j’attends bravement telle une condamnée résignée…

… pour le Chti ce n’est pas du tout la même affaire ! Je dois être très très très prudente en sa présence car il accourt ventre à terre à la moindre plainte qui m’échappe… Plus le temps avance, plus ses sens sont en alerte et surtout plus ses nerfs sont à vif !

 

Côté grande sœur, l’attente est beaucoup plus prudente :

Dubitative face à cet inconnu qui va bientôt débarquer sur son territoire, Lucie se garde bien de répondre oui à tous nos voisins qui l’interrogent ! Un chiot ou un poney elle aurait pu répondre franchement « OUI ! » mais un bébé ? Méfiante, elle attend de voir avant de valider…

Question de point de vue

par Ragnagna le 30 août 201830 août 2018 dans Troisième trimestre de grossesse

J’ai une théorie selon laquelle la fin de grossesse est détestable pour qu’à ce stade l’accouchement semble enviable… Et quand on y songe, j’approche de la fin de cette grossesse…

Quand Xenius me parle césarienne

par Ragnagna le 16 mars 201718 mars 2017 dans Ma grossesse : Un polich'tinelle dans le tiroir

Comme j’avais un peu de temps pour dessiner, je cherchais hier un petit fond sonore pour m’accompagner. Je suis alors tombée sur un épisode de Xenius (le « magazine de la connaissance » d’Arte) que j’avais manqué au début de l’année sur un sujet qui me parle particulièrement depuis la naissance de Lucie : la césarienne.

J’avoue que l’avertissement au début m’a vraiment surprise : j’étais dans l’optique de voir un documentaire sur la césarienne, pas un film violent ou porno ! 

Mais je connais des personnes qui ne supportent pas la vue du sang donc je comprends le pourquoi de l’avertissement. En tout cas, cela m’a fait drôlement plaisir de voir ce sujet abordé dans une émission de vulgarisation scientifique, et autrement que par le prisme « maman » et leurs accouchements rêvés. Même si on n’échappe pas à quelques passages clichés gnian-gnian de futurs parents se caressant le ventre extatique (mais ça c’est moi qui suis bizarre paraît-il !).

J’ai un peu tiqué sur la réponse à la question de la présentatrice Dörthe (que j’aime beaucoup par ailleurs) sur la césarienne de convenance : « J’imagine que beaucoup de femmes préfèrent une césarienne parce qu’elles évitent des souffrances, du stress, du risque, … ? ».
La question est légitime : avant moi-même de ne passer sous le bistouri, je n’avais entendu parler de la césarienne que sous cet angle. Et si le docteur dézingue bien l’idée en expliquant les risques d’une césarienne, j’avoue que de ma propre expérience je n’ai surtout pas trouvé à ma convenance les lendemains de la césarienne…
Je me revois encore faire des acrobaties pour déposer Lucie dans son lit, il m’a fallu plusieurs mois pour ne plus sentir de douleurs dans mon bas-ventre (et ça arrive encore que ça me lance…). L’accouchement est peut-être moins douloureux, mais derrière on douille quand même aussi…

J’ai été très surprise d’apprendre que l’Allemagne, bien que souvent encensée comme terre de l’accouchement naturel, a en fait beaucoup plus recours à la césarienne que la France, malgré notre image d’accouchement hyper médicalisée (21% chez nous contre 31% chez les voisins – et 52% à Chypre où ils déconnent sacrément !!).

La fin de la vidéo est moins glop pour mon Papa Poule qui va flipper sur les chiffres des risques accrues sur la santé d’un enfant césarisé…
Après en même temps sans césa, la louloute serait peut-être pas du tout avec nous, donc deux ans après c’est toujours sans regret et à refaire si nécessaire…
Merci Xenius pour le sujet, j’aurais apprécié le voir il y a un peu plus de 2 ans !

Quand Papa raconte Mogwaï (2)

par Ragnagna le 11 mars 201610 novembre 2016 dans À la maternité, Avec Papa

Le Chti avait commencé à vous raconter le début in utero de son histoire avec Lucie, voici la seconde partie de son récit avec sa version de notre longue épopée nocturne. Il y revient sur la pire nuit de sa vie.

  • 25 janvier 2015 : la nuit de l’accouchement / aka euh… bah notre première nuit à trois

Nous sommes arrivés à 19h41, direction salle d’attente, en se demandant bien si nous allions repartir ce soir. Nathalie, la sage-femme était très sympathique et essayait de nous rassurer. Je passe les détails mais tout s’est enchaîné, plusieurs changements de salle, pas de contractions de travail, des contractions de travail, boost artificiel des contractions, pas de boost, le bébé va bien, le bébé va mal, voie naturelle, césarienne d’urgence…Le dédale de la maternité

Dernier changement de salle pour la future Maman, nous avons demandé à ce que je vienne et donc je reste en arrière pour me changer en tenue « d’opération » (non mais juste pour assister, hein ?! Je n’allais pas découper ma Femme, surtout avec le bébé encore dedans !).

Donc je me change, et je me retrouve seul dans le couloir, Nathalie ressort et me ramène un tabouret … pour l’attente. Et quelle attente… plusieurs minutes à se tourner les pouces, sans savoir ce qu’il se passe.Césarienne, l'attente du Papa

Finalement, l’anesthésiste vient me chercher. J’arrive au chevet… (Une table d’opération en forme de croix…) et ma moitié ne me reconnait pas sur le coup mais un peu après. Et là, je tiens compagnie, caché derrière le grand rideau nous cachant ce qui se tramait au niveau du ventre. Nous n’entendons que les paroles « Mais elle est où ? », « Elle est plus au fond », ou les bruits « Sllllluuuuuuuurrrppslurrpppsslurpslurpslurpppss »… Et il ne faut surtout pas oublier les commentaires de l’intérieur du ventre de Kiki par l’anesthésiste….Blague d'anesthésiste

Finalement, Nathalie arrive en tenant un petit être au sein d’une couverture et nous annonce le poids du bébé « 2 kg 0 – 8 », j’étais surpris, mais moins que la Maman qui comprend de travers « 2 kg 8, un peu plus que sa Maman, je faisais 2k4 » avant de se faire reprendre « 2 kilo – zéérroo – huit ». Et là, elle comprend que c’est une vraie petite crevette, loin des 3kilos 250 vendus par le gynécologue.Maman n'a rien compris !*NDLS (note de la souris) : je pesais 2,4kg à la naissance, avec un mois d’avance

Pendant le rafistolage du ventre suite à la césarienne, on m’emmène assister au premier nettoyage de Lucie : 37°, elle commençait déjà à râler comme sa mère, avec de tout petits cris. Elle est allongée et mesurée, 45 centimètres et quelques. Elle se tortille déjà un peu pour montrer son désaccord d’être manipulée de la sorte (c’est bien une fille). Je suis ensuite conduit à la suite de la Sage-Femme et Lucie au service néo-natalité. Je ne connaissais que de nom, l’auxiliaire puéricultrice de garde, très sympathique, m’explique les raisons de la présence de Lucie ici : « trop petite », « trop faible pour la température », « suivi plus poussé en raison de son gabarit », « divers tests », « intraveineuse ». Je reste avec Lucie, seul, dans une quasi-obscurité, après qu’elle fut mise dans sa couveuse… son caisson. Je fais quelques photos pour sa Maman, qui n’a pas encore eu la chance de véritablement la voir. Une pédiatre passe dans la pièce, se présente et me demande pourquoi Lucie fait ce poids… Dans ma tête une pensée violente tambour mon crâne, mais je la retiens.RCIU, merci la pédiatre

Elle repart me laissant de nouveau seul avec bébé Lulu. En la regardant, une certaine culpabilité s’empare de mes pensées, nous avons beau nous convaincre que nous n’y sommes pour pas grand-chose, la voir dans sa boîte, isolée, avec ses câbles, nous empêche de penser à autre chose.

Quelques minutes après, je rejoins la Maman qui est allongée sur un lit, seule, tout aussi isolée si l’on ne compte pas l’infirmière qui vient voir l’évolution de son état toutes les quinze minutes et ne dit quasiment pas un mot. Elle ne peut quasiment pas bouger à cause de l’anesthésie. Je lui montre les photos de sa fille qu’elle n’a pas pu voir depuis le passage dans la salle d’accouchement. Je reste à ses côtés, au moins je peux la soutenir elle.Première nuit, culpabilité

À un moment, la pédiatre passe la voir, se présente et lui pose la même question « Comment cela se fait qu’elle fait ce poids ? »… ma pensée revient me tirailler, cherchant un moyen de sortir se jeter sur cette personne.RCIU, merci la pédiatre

Nous ne répondons pas… Elle repart nous laissant de nouveaux seuls jusqu’à ce que Kiki aille suffisamment mieux pour aller à sa chambre, en passant par la couveuse de Lucie bien sûr. Nous y sommes restés quelques minutes à la contempler, sans la toucher, juste en chuchotant avant de partir vers la chambre nous reposer, sans pouvoir emmener Lucie.

La première nuit à l’hôpital ne fut pas pour moi ce que l’on peut appeler une Nuit… J’essayais de dormir sur le fauteuil… mais toutes demi-heures l’infirmière de garde me faisait sortir pour prendre la tension et vérifier la cicatrice. Je devais attendre dehors dans le couloir.

Et ceci, jusqu’au matin…La sympathique infirmière

  • Lucie césarisée / aka les suites de la césarienne sur ta femme

Lucie est donc née par césarienne… Cela me laisserait indifférent si cela n’avait pas entaché le séjour à la maternité de Kiki. Même si celle-ci s’était bien passée, elle était dans l’incapacité de faire le moindre mouvement au niveau du ventre, s’assoir, se relever, s’allonger, rigoler… tout cela faisait mal. De plus, au lieu des trois jours de séjour pour un accouchement voie basse… du fait de la césarienne et que Lucie était en couveuse, elle devait passer au moins 7-8 jours à la maternité. Mais Aki est une tête de mule, surprenant les infirmières, elle s’est très vite rétablie… enfin, suffisamment pour faire des allers-retours à la néo-natalité pour voir sa Fille qui est une motivation suffisante pour braver la douleur.Fou rire et césarienne ne font pas bon ménagePar contre, plus tard, à la maison, cela a mis plus de temps avant que les mouvements du quotidien redeviennent quasiment naturels.

  • Néo-nat, RCIU et mini-crevette / aka la première semaine à l’hosto

La première semaine a été plutôt fatigante : faire des allers retours tous les jours entre la maison, l’hôpital, … , faire des courses de dernière minute car la puce est beaucoup plus petite qu’une crevette, trouver des places de parking où il n’y en a pas sans se garer en dehors d’une place (je n’aime pas ça) qui est payant en plus comme la majorité de Versailles, faire les allers-retours au service néo-natalité aux heures de repas de bébé Lucie et jongler avec les horaires,… et le soir à 22 heures, 23 heures, se faire un mini repas avant d’aller se coucher pour se lever à 6h le lendemain matin et recourir toute la journée.Les soirées de nouveau Papa à distance

  • Le retour et les débuts de la vie à trois / aka le retour 2, les difficultés du début

Le retour à la maison a été plutôt difficile. Même s’il était (très) fortement attendu par la Maman (ce que je comprends), il n’était pas joie et émerveillement.

C’était assez déstabilisant de rentrer avec une nouvelle pièce détachée (huhu). Il a fallu en plus faire les présentations avec Plume.

Mais passé cet instant c’est une période de doute qui s’est installée : sommes-nous capable de nous en occuper pendant ses premières semaines de sa vie ? Il faut le comprendre, je pense que la majorité des nouveaux parents se posent des questions, ont des doutes, mais nous avions une couche supplémentaire : notre bébé avait un poids extrêmement léger et une petite taille (elle tenait facilement allongée sur mon avant-bras), nous n’avions pas le droit à l’erreur. Nous devions la peser extrêmement régulièrement, vérifier avec exactitude la quantité bue, etc.Des débuts de nouveaux parents angoissés

Des personnes, certaines qualifiées, ont beau vous dire qu’un nouveau-né n’est pas si fragile que cela, ce n’est toujours pas assez rassurant.

Il faut rajouter à cela que nous n’avions pas de suivi de prévu, malgré que nous sortions de la néo-natalité. Et si nous faisions tout pour donner le biberon à Lucie nous-même en néo-nat, nous n’avions passé que peu de temps (tout est relatif) avec Lucie en dehors de ces heures de repas car elle était dans sa couveuse, ou son berceau à l’abri.

Et pour compliquer le tout, ma moitié n’était qu’au huitième de ses capacités…Se remettre de l'accouchement et assurer ses nouvelles responsabilités

  • Être Papa / aka ton nouveau rôle, ta nouvelle responsabilité, ta petite fille

Être Papa… définition ? Bonne question … Pour moi, pour le moment, c’est aider le petit bout de nous à se développer, à apprendre, l’aider, le supporter (dans tous les sens du terme) dans les moments difficiles et les moments heureux. C’est accepter ce petit être et lui laisser pendre de la place dans sa Maison, dans sa Famille. C’est une définition qui évoluera avec le temps, avec Lucie…

Pendant un moment, être Papa, c’était la porter tous les soirs ou se faire promener dans l’appartement pendant qu’elle le visitait en marchant.

En ce moment, c’est la suivre pendant qu’elle « court », lui faire comprendre les mots, lui apprendre à se laver les dents, entasser les jouets qu’elle ramène, danser avec elle, lui faire le câlin et bisous pré-dodo.Notre moment à trois, le brossage de dentsPlus tard ce sera peut-être accueillir les prétendant(e)s avec un fusil ?

  • BB2 / aka prêt à rempiler ? Quelles erreurs éviter au prochain ?

Il va falloir m’offrir de longs mois de vacances le temps que j’arrive à dormir correctement pour me préparer à de nouvelles nuits blanches/difficiles/coliques.Alerte fin de batterie

Les erreurs à éviter au prochain ? Ne pas se remettre en doute quand quelque chose nous inquiète et que les médecins nous donnent tort… Car nous aurions très bien pu la perdre…

Lucie et Papa, 2 jours

Tu verras #5 : Le trousseau de naissance de bébé

par Ragnagna le 19 octobre 201519 mai 2018 dans Vie de maman

Quand une nullipare devient primigeste, un phénomène étrange se produit : tout un chacun se sent le devoir de partager son avis, de raconter son expérience et de prodiguer moult conseils aux futurs nouveaux parents.

Sauf qu’ils nous masquent l’entière vérité (sans doute dans l’intérêt de la préservation de l’espèce humaine). Aussi j’ai voulu faire un petit tour illustré des « tu verras » que j’ai pu entendre durant ma grossesse.

N’hésitez pas à me dire en commentaire si vous songez à d’autres « tu verras » que vous avez pu entendre ou que vous entendez, je pourrais les ajouter aux miens s’ils me parlent également !

***

On m’avait vendu : Tu verras #4 : Habiller son bébéEt dans la réalité :Tu verras #4 : Habiller son bébéCe « tu verras » m’a été directement soufflé par Astrid via la page Facebook du blog. Merci Astrid pour le bon souvenir !

Je la remercie d’autant que ce « tu verras » me permet de vous montrer une photo que je pensais ne jamais pouvoir utiliser alors que j’y avais vraiment passé du temps, à tourner autour du sujet avec mon petit bidou, à tenter de trouver le meilleur angle, à chercher la meilleur disposition, afin de pouvoir annoncer par cette jolie photo, ici sur le blog, la naissance de Mogwaï…
Aussi voici donc, en exclusivité, la tenue de naissance que j’avais choisie avec soin et amour et que le Chti avait pliée avec autant de soin et d’amour dans le petit sac pour la maternité :Le rêveEt, pour rire, voilà la véritable tenue de naissance que Lucie a « porté » 4 jours plus tard :La réalité

Tu verras #3 : L’accouchement

par Ragnagna le 14 octobre 201519 mai 2018 dans À la maternité, Vie de maman

Quand une nullipare devient primigeste, un phénomène étrange se produit : tout un chacun se sent le devoir de partager son avis, de raconter son expérience et de prodiguer moult conseils aux futurs nouveaux parents.

Sauf qu’ils nous masquent l’entière vérité (sans doute dans l’intérêt de la préservation de l’espèce humaine). Aussi j’ai voulu faire un petit tour illustré des « tu verras » que j’ai pu entendre durant ma grossesse.

N’hésitez pas à me dire en commentaire si vous songez à d’autres « tu verras » que vous avez pu entendre ou que vous entendez, je pourrais les ajouter aux miens s’ils me parlent également !

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On m’avait vendu : Tu verras #3 L'accouchementEt dans la réalité : Tu verras #3 L'accouchement

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