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Ragnagna des Bois Jolis

O.B.N.I. (Objet Bloguesque Non Identifié)

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Catégorie : Ma grossesse : Un polich’tinelle dans le tiroir

On en parlait, on en rêvait mais on s’y attendait moins. Et surtout, on ne savait pas comment la grossesse était un moment « FUN » !

Histoire de fœtus et d’hippocampe

par Ragnagna le 23 mars 201823 mars 2018 dans Premier trimestre de grossesse

Il y a des réveils qui retournent les tripes…

Geste désespéré, tentative vaine, …

Et enfin le vrai réveil, avec cette sensation de vide dans le ventre encore trop prégnante…

Les rêves étranges (ou cauchemar) font (il paraît) parti des symptômes classiques de grossesse… Je crois bien que je viens d’avoir mon premier pour Chti-Rex ! Ironiquement c’est à peu près à la même période que mon premier pour Lucie, sauf qu’à chaque grossesse ses angoisses propres…

♪♫ « Ron ron sa petite soeur » ♫♪

par Ragnagna le 21 mars 201819 mars 2018 dans Premier trimestre de grossesse

Le mystère plane généralement au minimum trois mois avant que le sexe d’un bébé soit déterminé (sans oublier la marge d’erreur). Mais pour Lucie, il n’y a aucun doute sur son bébé à elle !!

C’était tellement touchant sa petite chanson improvisée que je n’ai pas eu à cœur de la détromper (pour le moment)… Pour nous, on attend de voir !

L’après Schrödinger

par Ragnagna le 19 mars 201818 mars 2018 dans Ma grossesse : Un polich'tinelle dans le tiroir, Premier trimestre de grossesse

Fin janvier alors que je dessinais et rédigeais cet article vous racontant Schrödinger, dans le secret de mes entrailles un nouvel œuf venait s’implanter directement à sa suite. Quelques jours après avoir raconté ma fausse couche, j’ai de nouveau ressenti la fatigue écrasante, les seins qui regonflent, le super odorat et les dégoûts alimentaires.

Toute une cohorte de symptômes qui me firent penser que le retour de couche que j’attendais se ferait attendre encore quelques temps… Un pipi plus tard, pour en avoir le cœur net…

Cette fois, après la douche froide qu’on venait de prendre, pas de « bon bon » pété de trouille, pas d’enthousiasme ou de rêverie, juste deux prises de sang à 48h d’intervalles pour suivre l’évolution du taux de bêta-HCG (parfaite cette fois) et une attente qui s’installe et s’étire avant le premier rendez-vous chez la sage-femme un mois après.

Début mars le rendez-vous arrive, Lucie vient avec nous car l’horaire ne permet pas de la déposer à l’école. Pour ne pas l’inquiéter, on lui explique que Maman n’est pas malade mais que l’on va voir le « docteur des bébés » « pour voir », sans rien lui promettre.

Elle n’a pas tout à fait compris le concept de « docteur des bébés » comme on l’imaginait et était un peu déçue de ne pas trouver de bébé mais elle était ravie de repartir avec une photo de « son » bébé.

De notre côté, toujours refroidis malgré la vivacité du T-Rex lors de cette première échographie, le mot d’ordre reste :

 

Est-ce que la première écho officielle saura nous rasséréner un peu, une fois ce délai fatidique des 3 mois derrière nous ? On le saura début avril, en attendant il y en a une qui est déjà hyper enthousiaste :

Maman H.S.

par Ragnagna le 7 mars 20187 mars 2018 dans Ma grossesse : Un polich'tinelle dans le tiroir, Premier trimestre de grossesse

J’ai disparu pendant un mois – et Facebook m’a harcelée toute cette période sans relâche car « XXX de personnes attendent de vos nouvelles » et que j’allais perdre toute ma « communauté » (ce qui est vrai, le web n’aime pas les disparitions) – mais entre les gastros de chacun, les vacances de l’une et la fatigue du tout, je me suis limitée aux fonctions vitales.

Cependant c’est dingue à quel point quand nous – les parents – sommes au ralenti, eux – les enfants – semblent carburer ENCORE plus vite…

Schrödinger

par Ragnagna le 24 janvier 201823 janvier 2018 dans Ma grossesse : Un polich'tinelle dans le tiroir

Début décembre dernier nous avons eu comme un goût de déjà-vu : une fatigue écrasante, ma poitrine douloureuse au réveil et qui gonfle, mes règles qui se font attendre, … Bref tous les indicateurs d’une nouvelle grossesse était là ! Pour confirmer le tout par principe, je fais le classique pipi sur bâtonnet à capuchon rose layette. Deux barres qui s’affichent, bref c’est parti !

Si pour Lucie nous étions déjà un peu pétés de trouille, nous ignorions encore réellement ce pour quoi nous signions : cette fatigue écrasante face à ces nuits sans sommeil, les petits et grands bobos, cette éreintante demande constante d’attention et de surveillance, ces trésors de diplomatie à inventer et déployer, … Bref tout le sel sans glamour de la vie de jeunes parents !

Et pour le deuxième, à toute cette liste s’ajoute les besoins de l’aînée ! À la lecture du résultat attendu et désiré, on est juste triplement pété de trouille…

Mais à côté de la trouille, le rêve commence aussi, on imagine, on se prépare pour ce jour du mois d’août 2018…

Je retrouve la routine de la femme enceinte avec mes deux premières prises de bêta-HCG à 48h d’intervalle pour confirmer la grossesse  : cette « DDR » (date des dernières règles) que l’on me demandera avant chaque rendez-vous ou examens, ces prises de sang mensuels (car j’ai eu la mauvaise idée d’oublier d’attraper la toxoplasmose avant – pourtant, croyez-moi, je m’applique : je ne nettoie pas particulièrement mes légumes, je préfère la viande saignante et j’ai des chats qui sortent et dont je nettoies le bac à sciures depuis que j’ai 12 ans !!!). Bref les petites trucs de la grossesse…

Puis, le 19 décembre, les résultats tombent, comme un couperet…

 

Entre le rayon des liquides vaisselle et celui des éponges, nos rêveries s’effondrent. Les taux de bêta-HCG n’évoluent pas assez vite. Trois hypothèses à cette heure s’ouvrent à nous :

  • au mieux je fais partie des femmes avec des taux qui évoluent anormalement sans que cela compromette la grossesse ;
  • plus probablement la grossesse est non évolutive et je devrai expulser naturellement l’œuf, ou alors aller réaliser une interruption médicale de la grossesse ;
  • dans le pire des cas l’œuf se développe hors de l’utérus et je vais devoir être opérée en urgence.

À quelques jours des fêtes de Noël, c’est la douche froide. Ma semaine marathon avec Lucie sous le bras commence alors, entre l’école, l’expédition avec valise et pains de glace pour rapporter la viande de Nifhel, passage chez la gynéco pour des nouvelles ordonnances, prises de sang et échographie.

Je ne sais pas si je dois me ménager ou si c’est peine perdue… Chaque déplacement m’angoisse : et si la fausse couche se déclenche alors que je suis partie loin à pieds avec Lucie ? Dans le doute, je mets par sécurité dans mon sac à main une couche et une culotte propre pour moi, à côté du change de Lucie. Je paranoïse à chaque instant à chaque petites choses que je ressens et perçois comme anormal, à en rendre dingue le Chti !

Au 21 décembre tristement les bêta-HCG ne s’envolent pas mus par un miracle particulier, ils continuent de stagner. Tout espoir est pour nous perdu. À ce stade, on espère juste éviter l’hospitalisation à cause d’une éventuelle grossesse extra-utérine pour ne pas gâcher ce Noël qui arrive et que Lucie attend avec tellement d’impatience et de joie.

C’est la mort dans l’âme que j’attends mon rendez-vous pour l’échographie et donc la confirmation définitive de la non-viabilité de ma grossesse. L’attente au milieu des futurs parents enamourés caressant tous ces ventres ronds et couvant de regards rêveurs ma petite fille sagement assise à mes côtés s’appliquant sur ses gommette tient de la torture. Arrive mon tour…

La bonne nouvelle ! Enfin une bonne nouvelle ! On peut partir pour les fêtes sans s’inquiéter outre mesure, on aura pas à annoncer à Lucie que Noël sera une autre année !! Mais aussi l’espoir fou qui renaît… et si ? Pour Lucie la médecine n’avait rien vu, peut-être que je suis un numéro bizarre qui fait mal mais que ça marche quand même ? J’ai rendez-vous deux semaines plus tard, le 3 janvier, pour suivre l’évolution, avec les fêtes difficiles de faire plus vite.

D’ici là, c’est l’attente, angoissante et interminable. C’est à ce moment là qu’on a décidé d’appeler ce petit truc « Schrödinger », car plus que jamais on ne savait pas si c’était mort ou vif à l’intérieur de mon utérus. Les fêtes de Noël passent, Lucie déclenche sa varicelle (c’est bien ma fille ça : tomber malade pendant les vacances !), l’anniversaire du Chti arrive et ce même jour, le 30 décembre à 6h du matin, Schrödinger aussi…

J’ai bien choisi ma date, on s’en souviendra de cette anniversaire là ! Lui à la maison avec Lucie et ses boutons, et moi aux urgences pendant plus de 4h pour attendre ma piqure de Rophylac (et oui ça m’apprendra à ne pas être – rhésus – positive…)

C’était le moins pire des pires cas, je suis heureuse que ma fausse couche se soit déclenchée spontanément, je ne voulais pas aller à l’hôpital pour la déclencher. Tout du long le personnel médical a été plutôt sympa avec moi et mes petits hauts et bas. Un mois après j’ai déjà l’impression qu’une année nous sépare de ces longues heures.

Comme disent les anglophones « shit happens » et « c’est la vie ». On aurait aimé que cela soit autrement mais c’est une histoire douloureusement classique : il suffit d’en parler pour entendre combien l’on est nombreux à traverser cette épreuve. Je suis assez jeune pour pouvoir retenter avec le Chti, j’ai déjà Lucie (et si besoin je m’en contenterai), ma santé n’a pas été compromise, de quoi je me plains ?! J’en tire une petite allergie (éphémère j’espère) aux femmes enceintes et aux nourrissons tout frais. Cela aura été aussi une bonne piqûre de rappel (malvenue) sur combien je ne kiffe pas la grossesse…

Cela m’aura également appris combien Lucie commence à vraiment bien comprendre ce qui se passe autour d’elle, à enregistrer ce que je raconte à son père et surtout à le ressortir à qui veut l’entendre, aussi compromettant que cela soit…

Alors d’abord ça pique vachement beaucoup le Rophylac. Et puis deuxio j’ai le gras de la fesse sensible moi d’abord ! Et tertio elle veut quoi ?! Ajouter l’humiliation au traumatisme !! La fille de son père ça !

Pour être « pimpante » à la maternité

par Ragnagna le 4 octobre 20175 octobre 2017 dans À la maternité, Billets d'humeur

En avril dernier, je lisais tranquillement sur mon trône le journal local quand une sorte de publi-reportage m’a fait sortir de mes gonds telle une furie. Je n’avais pas pu m’empêcher d’avoir une réaction épidermique et de saisir mes crayons pour hurler mon indignation mais le temps m’avait manqué et l’article est resté en brouillon jusqu’à ce que je le redécouvre il y a quelques jours. Donc des mois après, nous revoilà mes poils et moi pour crier notre révolte !

_________

Dès le titre, j’avais sentie qu’on allait clairement pas être d’accord : « être pimpante à la maternité »… Faites moi rire !

Pour un site qui veut faire vivre sa maternité autrement, une grossesse épanouie, je trouve que mettre en avant, presque comme une obligation, le « être pimpante » à la maternité est contradictoire. Sérieusement, ces jours là où on apprend à être Maman et on découvre un nouvel être qui nous accompagnera jusqu’à notre mort, on a vraiment d’autres priorités en tête (comme sortir au plus vite, faire monter son lait, apprendre à changer, …)

Je sais bien que je suis une OVNI et que pour certaines rester belles en toute situation et avec tous les artifices offerts aux femmes est crucial. Peut-être car, comme j’ai entendu dire* par une femme active et maman française, nous Françaises sommes des latines et si nous nous laissons aller notre homme ira ailleurs (je suis ravie en ce cas d’autant plus ravie d’avoir un Chti dont l’amour ne dépend pas de mon paraître mais de mon être !) !!

Ce ton complice sonne à mon oreille comme un (gros) brin condescendant, quand je lis : « vous ne voudriez pas avoir une tête d’enterrement sur toutes les photos » mon esprit (parano ?) me fait lire « oh eh ça va pas la tête ?! Tu DOIS faire ta belle pour les photos et puis c’est tout ! ». Encore et toujours cette obligation de présenter une bonne apparence, de mettre une façade à son visage…

Enfin bref, allons voir plus loin si j’y suis :

Le premier point de la liste est donc du gel douche hygiène intime. Pas un gel douche, non un gel douche hygiène intime ! Réfléchissons, c’est logique : il faut être pimpante de la vulve aussi !! Pour éblouir les docteurs et les infirmières qui viennent faire les soins ! Chacun ses priorités  !! C’est déjà un exploit de se laver après l’accouchement de toutes manières vu qu’on a plus aucun temps avec la mini-chose…

Bon ensuite… « Un rasoir et une pince à épiler pour effectuer quelques retouches ». Ah oui ! Clairement importante les « retouches » !!!!
« Poussez madame poussez ! », « ah non monsieur, j’ai oublié un poil là attendez ! » Le séjour lambda en maternité c’est trois jours, on peut peut-être donner un petit sursis aux poils à ce moment là non ? Ou alors il faut penser à la césarienne ou l’épisiotomie, c’est rasage gratuit garantie !

Bref… continuons… dernier paragraphe :

Le retour du crayon anti-cernes qui est visiblement littéralement le sauveur de la nouvelle maman – moi qui croyais que c’était le nouveau papa le sauveur ! Je maintiens une fois encore que j’ai le droit d’être imparfaite et fatiguée, et ce même si je faisais peur à voir ! Au moins mes amis ont vu ce que c’était le bonheur de la nouvelle maternité !

Je ne sais pas de quel acabit est le site de Maman Vogue mais, après lecture de cette publicité, clairement je ne correspond pas au public souhaité. De la même façon que leur version de la grossesse épanouie et de la maternité autrement ne me correspond pas du tout… Pourquoi ne peut-on pas venir accoucher à la maternité comme on va manger au Mac Do ? Comme on est…

___

* Diffusé sur Arte en avril 2017 dans la collection « Regards » : « Le modèle français – Super maman et femme active ».

Quand Xenius me parle césarienne

par Ragnagna le 16 mars 201718 mars 2017 dans Ma grossesse : Un polich'tinelle dans le tiroir

Comme j’avais un peu de temps pour dessiner, je cherchais hier un petit fond sonore pour m’accompagner. Je suis alors tombée sur un épisode de Xenius (le « magazine de la connaissance » d’Arte) que j’avais manqué au début de l’année sur un sujet qui me parle particulièrement depuis la naissance de Lucie : la césarienne.

J’avoue que l’avertissement au début m’a vraiment surprise : j’étais dans l’optique de voir un documentaire sur la césarienne, pas un film violent ou porno ! 

Mais je connais des personnes qui ne supportent pas la vue du sang donc je comprends le pourquoi de l’avertissement. En tout cas, cela m’a fait drôlement plaisir de voir ce sujet abordé dans une émission de vulgarisation scientifique, et autrement que par le prisme « maman » et leurs accouchements rêvés. Même si on n’échappe pas à quelques passages clichés gnian-gnian de futurs parents se caressant le ventre extatique (mais ça c’est moi qui suis bizarre paraît-il !).

J’ai un peu tiqué sur la réponse à la question de la présentatrice Dörthe (que j’aime beaucoup par ailleurs) sur la césarienne de convenance : « J’imagine que beaucoup de femmes préfèrent une césarienne parce qu’elles évitent des souffrances, du stress, du risque, … ? ».
La question est légitime : avant moi-même de ne passer sous le bistouri, je n’avais entendu parler de la césarienne que sous cet angle. Et si le docteur dézingue bien l’idée en expliquant les risques d’une césarienne, j’avoue que de ma propre expérience je n’ai surtout pas trouvé à ma convenance les lendemains de la césarienne…
Je me revois encore faire des acrobaties pour déposer Lucie dans son lit, il m’a fallu plusieurs mois pour ne plus sentir de douleurs dans mon bas-ventre (et ça arrive encore que ça me lance…). L’accouchement est peut-être moins douloureux, mais derrière on douille quand même aussi…

J’ai été très surprise d’apprendre que l’Allemagne, bien que souvent encensée comme terre de l’accouchement naturel, a en fait beaucoup plus recours à la césarienne que la France, malgré notre image d’accouchement hyper médicalisée (21% chez nous contre 31% chez les voisins – et 52% à Chypre où ils déconnent sacrément !!).

La fin de la vidéo est moins glop pour mon Papa Poule qui va flipper sur les chiffres des risques accrues sur la santé d’un enfant césarisé…
Après en même temps sans césa, la louloute serait peut-être pas du tout avec nous, donc deux ans après c’est toujours sans regret et à refaire si nécessaire…
Merci Xenius pour le sujet, j’aurais apprécié le voir il y a un peu plus de 2 ans !

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