En introduction de cette belle anecdote de mon quotidien il faut savoir que si je supporte très facilement le froid, la canicule (comme les deux semaines que nous venons d’avoir) est une toute autre histoire. Je deviens alors un animal étrange et assez peu ragoûtant, dégoulinant et geignant que le Chti surnomme « affectueusement » la phase « mollusque »…Cependant au-delà de cet état peu esthétique et digne, la chaleur me rend malade. Et un petit rhume quand il fait 30°, ça ne fait pas bien sérieux et ça surprend toujours. Aussi une fois les restants de mouchoirs de l’hiver dernier finis, les essuies-tout du bureau essuyés, je n’avais plus qu’une solution…