Certains soirs, j’aimerai ne pas avoir besoin de repos moi-même pour pouvoir lui servir de coussin et de berceuse toute la nuit…J’aime la sentir dormir contre moi, toute détendue et en confiance. J’y retrouve un peu ma petite nourrissonne de l’année dernière…Mais après pas tous les soirs non plus !
Étiquette : sommeil
Cela fait plusieurs semaines que Lucie dort très mal, et moi avec. Voilà comment je me retrouve d’ailleurs à finir ce dessin à 4h30 du matin et à le publier à 6h du matin. Au moins j’aurai été efficace durant ma veillée !
Les dents ? L’excitation de la marche ? Le changement de lait ? Le froid une fois sortie de la gigoteuse ? La laisser pleurer ? La bercer ? L’accompagner avec les 5-10-15 ? L’assommer ? Chaque soir je monte des hypothèses et j’expérimente des solutions, sans grands résultats (je vous rassure, j’ai pas – encore – testé la dernière !).
Ces heures à attendre qu’elle s’apaise et s’endorme, blottie dans le noir de sa chambre ou de la mienne, me donnent tout le loisir pour m’évader mentalement et prendre de la hauteur.
Quand on a, à son tour, un enfant, on se rend compte à quel point nous sommes la continuité d’une lignée qui nous dépasse et qui remonte le temps. Je les imagine reproduisant les mêmes gestes que moi, fredonnant les mêmes ritournelles et affrontant les mêmes défis, tout autant dépourvues mais tout autant pleine d’amour…
J’en profite pour passer un petit bisou à ma maman avant de retourner me coucher. ♥
Bonne nuit !
© Source des images utilisées en tapisserie :
– version 80’s : tissu floral richbloom gloria jubilee (trouvé sur addicted2decorating ici)
– version 50’s : papier cadeau pour enfant (trouvé sur ribambelles & ribambins ici)
Quand une nullipare devient primigeste, un phénomène étrange se produit : tout un chacun se sent le devoir de partager son avis, de raconter son expérience et de prodiguer moult conseils aux futurs nouveaux parents.
Sauf qu’ils nous masquent l’entière vérité (sans doute dans l’intérêt de la préservation de l’espèce humaine). Aussi j’ai voulu faire un petit tour illustré des « tu verras » que j’ai pu entendre durant ma grossesse.
N’hésitez pas à me dire en commentaire si vous songez à d’autres « tu verras » que vous avez pu entendre ou que vous entendez, je pourrais les ajouter aux miens s’ils me parlent également !
***
On m’avait vendu : Et je dois reconnaître que là par contre c’était totalement vrai ! Et dans tous les sens du terme :
Car même au pire de la fatigue et au bout du rouleau, face à ce regard mouillé et désarmant…
… on trouve un fond d’énergie inexploité et on assure de son mieux en oubliant le lendemain…
Ce « tu verras » plus positif m’a été inspiré par Céline F. via la page Facebook du blog et il clôture ma série, tout du moins pour l’instant car je reste ouverte à vos propositions !
Quand une nullipare devient primigeste, un phénomène étrange se produit : tout un chacun se sent le devoir de partager son avis, de raconter son expérience et de prodiguer moult conseils aux futurs nouveaux parents.
Sauf qu’ils nous masquent l’entière vérité (sans doute dans l’intérêt de la préservation de l’espèce humaine). Aussi j’ai voulu faire un petit tour illustré des « tu verras » que j’ai pu entendre durant ma grossesse.
N’hésitez pas à me dire en commentaire si vous songez à d’autres « tu verras » que vous avez pu entendre ou que vous entendez, je pourrais les ajouter aux miens s’ils me parlent également !
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Après un début de week-end en jeun forcé à vider tripes et boyaux, le Chti espérait ce dimanche soir un peu de repos durement mérité afin de tenir la semaine. C’était sans compter sur sa ravissante épouse, a.k.a. la tenancière de ce blog… Je suis un monstre… Et trois fois s’il vous plaît !
Mais pour ma défense, quelques heures avant, Lucie était dans le lit…
N.B. : je précise pour ajouter au côté surréaliste de ces réveils en panique que nous n’avons jamais pratiqué le co-dodo. Lucie dès sa naissance a dormi seule, d’abord dans une couveuse en néo-natalité puis dans son lit à l’autre bout de notre couloir.