Je vous avais raconté comment Lucie depuis un moment répétait « quoi » à tout bout de champ, comme un petit oiseau. Puis mi-juillet, le « quoi » est devenu un beau « pourquoi » répété à tue-tête et à l’envie, à m’en rendre littéralement folle…
Bref, nous sommes entrés dans la célèbre (et redoutée) phase du « pourquoi ». Dans notre malheur, nous avons la chance toutefois d’avoir une fille raisonnable qui se satisfait parfois de nos explications d’un « okay » comblé…

Raisonnable mais tenace, car le lendemain elle revient à la charge au cas où la réponse n’a pas, à tout hasard, changée depuis la veille.
C’est toute ma zénitude de Maman que je dois saisir à bras de corps pour éviter de lâcher un cri primale et brutale, mais ô combien tentant !


Loin de moi l’idée de tresser des lauriers au Chti : il n’est toujours pas
Mais bien souvent il est toujours là pour m’aider et me soutenir…
… même si parfois je suis moi aussi une vraie « pain in the ass » !
Ce n’est ni son anniv, ni notre anniv, ni la Saint-Valentin, ni la fête des pères, des maris ou des petits amis, mais il n’y a pas de jours pour dire merci mon Juju !
J’étais un peu surprise par cette passion pour son cochon, cochon qu’elle n’oublie jamais de saluer d’un joyeux « au revoir cochon » au moment du départ. Puis le Papa du Chti m’a envoyé cette photo de mon mari chéri…

Doux Papa aimant et innocent qui n’imagine pas combien sa petite fille évoluera encore et trouvera étrange, à 14 ans, d’avoir pu réclamer à cor et à cri que son vieux papa partage son bain.


