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Ragnagna des Bois Jolis

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Étiquette : tramway

Amoureuse ou conne ? À vous de me dire !

par Ragnagna le 24 février 201230 octobre 2014 dans Au fil du crayon, Ma L♥uve Story

Quand le Chti est sorti avec moi, il a rapidement compris qu’avoir une copine coûtait cher. Très cher. Son solde de forfait était de 180€ le 21 juin et il ne m’a fallu qu’un mois pour descendre la somme et l’obliger à recharger… Ma mère devant l’ampleur de mon addiction a eu l’intelligence de me changer de forfait pour avoir une ligne illimité entre nous.

Libéré de la contrainte du forfait, nous ne nous quittions plus. Chaque matin, il partait à l’école (ou au stage) le téléphone vissé à l’oreille tandis que je me réveillais dans mon lit suspendue à ses lèvres. Pas réveillés, mal lunés, fatigués, extatiques, fâchés, enthousiastes, déprimés, quelque était notre humeur, ce rituel était essentiel pour commencer la journée. Mais aussi essentiel était le coup de fil du soir pour terminer la journée. Une fois les ordinateurs éteints, nous nous endormions reliés par nos téléphones, parfois sans parler, juste heureux d’entendre le souffle de l’autre, juste heureux de savoir que l’autre était là. Le dernier réveillé coupait la ligne.

Bref, nos portables pendant 3 ans ont été centraux dans notre relation à distance, juste derrière Internet. Ils compensaient l’absence et le manque. De cette période nous avons gardé certaines habitudes comme se prévenir quand on quitte le boulot le soir.

Sauf que nos horaires étant décalés, on tombe parfois comme une co un cheveu sur la soupe…
Je comprenais rien de rien, la voix était distante et son charabia de boulot est du chinois pour moi; mais j’étais toute contente de pouvoir l’entendre, toute curieuse de l’écouter parler à ses collègues. Il est rarement très sérieux avec moi, je le découvrais sous un angle professionnel. Bref je suis redevenue l’ado amoureuse suspendue à son portable.

Et comme il y a 3 ans où nous nous sommes mutuellement fait des perles au téléphone (c’est ainsi qu’il a su avant même de passer une nuit avec moi que je gémissais en dormant). La fin de l’histoire vaut son pesant de moutarde:

Il m’a raccroché au nez le petit cochon !! Même si d’après lui il m’aurait dit qu’il terminait sa conversation pro et qu’après il me rappelait mais soi-disant avec mes manœuvres pour mettre mon casque j’aurais rien entendu. Fi !

Pour vivre à Paris, il faut un cœur de pierre ou des nerfs d’acier

par Ragnagna le 11 janvier 201230 octobre 2014 dans Au fil du crayon, Billets d'humeur, Une vie de souris

Je suis née à Paris, j’ai toujours vécu à moins de 30 minutes de Paris et cela fait 7 ans que je vais quotidiennement y travailler. Je pensais être armée pour affronter cette ville, pour y  ignorer l’agressivité des gens, leurs nuisances, la saleté, la misère… Orgueilleuse que je suis, en une pichenette ma carapace a fondu.

Ce soir, j’ai la rage contre cette bonne femme qui m’a engueulée avec son air prétentieux car (tenez vous bien, quelle nulle je suis !): je n’ai pas forcé  la porte du tramway quand le chauffeur a forcé la fermeture des portes… Je sortais du boulot, quand le tram arrivait, j’ai couru mais j’ai été gênée par un petit devant moi qui rentrait tout doucement dans le wagon avec son papa, la porte se fermait déjà sur le père d’ailleurs. J’ai tenté de redemander l’ouverture en appuyant sur le bouton et en repoussant la porte, mais le chauffeur avait décidé que non je resterais dehors.

J’aurais pu mettre ma tête dans la porte pour bloquer, voire la mettre sur les rails, malin nan ? Il aurait été bien obligé de ne pas partir (ou alors j’aurais raté mon train mais lui ne m’aurait pas ratée…). Sauf que non, je me suis résignée, tant pis j’ai raté mon tramway à une micro-seconde, j’attendrais le suivant, même s’il est 18h et que je suis pressée de rentrer, comme toute le monde…

Madame Grognasse est alors arrivée à bout de souffle, me toise de haut et lâche méprisante « Mais quelle godiche, espèce de gourde ! ». J’étais fatiguée, ça m’a blessée.

J’aurais eu un esprit affuté, une langue acérée, j’aurais pu répondre à cette baleine qu’elle n’avait qu’à courir plus vite… Mais rien ne m’est venu, à part quelques balbutiements de protestation trop faiblards.
Le cœur lourd de rage, je me suis éloignée, tout ce que j’avais envie de faire, c’était revenir vers elle pour l’insulter vulgairement, pour soulager mon humiliation.

J’ai eu le même pincement au cœur, le même serrement à la gorge, que quand enfant on m’engueulait à tort pour une bêtise d’un de mes frères. Le sentiment cuisant de l’injustice.

Bref ceci est un message pour la pétasse qui m’a insultée car sa grâsseuseté refusait d’attendre 3 minutes sur un quai et aurait préféré que je balance un mioche sur la voie.

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