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Ragnagna des Bois Jolis

O.B.N.I. (Objet Bloguesque Non Identifié)

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Catégorie : Billets d’humeur

Parfois je râle mais parfois je sais aussi dire « J’aime! ».

Le Temps des cerises

par Ragnagna le 16 juin 201616 juin 2016 dans Billets d'humeur, Regard des autres


Maman de L. abasourdie ACTE I, SCÈNE 1

Deux mamans cheminent de concert avec leurs enfants, le petit C. (4 ans) et la petite L. (17 mois).
Le petit C. a trouvé sur le chemin deux grappes de deux petites cerises et essaye de les mettre à ses oreilles.

MAMAN DE C., affectueusement. — Mais les boucles d’oreilles c’est plutôt pour les filles mon chat !
MAMAN DE L., vivement. — Mais non ! Le Papa de L. a une boucle d’oreille !
MAMAN DE C., gênée. — Euh… les boucles d’oreilles… de cerises sont plutôt pour les filles !
MAMAN DE L., abasourdie. — … !?!Papa cerise

Pourquoi Madame Figaro est-elle encore si « attardée » ?

par Ragnagna le 7 juin 20166 juin 2016 dans Billets d'humeur

Lundi dernier, avant le réveil de Lucie, je procrastinais tranquillement sur mon téléphone depuis le petit coin. Profitant du bon sommeil de ma fille, je m’informais sur les nouvelles du monde en-dehors de mon petit chez-moi, quand je suis tombée sur ce titre : « Pourquoi mon ado est-il juste comme les autres ? ».

Curieuse et intriguée, je clique sur cette article de Madame Figaro, m’attendant à un sujet expliquant le besoin des adolescents de s’assembler et de se ressembler, de former des tribus partageant les mêmes passions. Bref quelque chose de léger.

J’aurai été en train de siroter un café dans un joli mug au filtre sépia que je l’aurai probablement recraché d’indignation sur mon téléphone ! Il faut dire que l’introduction tape fort:

« Il passe du canapé à l’ordi, elle est accro au nail art et glose en boucle sur son gloss… Pas de panique ! Face à l’ado lassant nourri à la culture geek ou girly, il est néanmoins possible de positiver…

Ils ou elles sont accros aux nouvelles technologies, à la sous-culture jeune, au shopping, aux tutos de maquillage mais ne deviennent jamais ces blogueurs, ces youtubeurs ou autres e-entrepreneurs à succès dont on nous rebat les oreilles. Eux ont su transformer leur vice en vertu… Qu’attendent nos petits chéris ? On se le demande et on a des suggestions à leur faire… »

Mais ce n’était encore qu’une mise en bouche comparé au reste ! L’article saute allègrement de préjugés en caricatures sur un ton badin qui se veut humoristique (enfin je crois ?).

Je vous avoue que parvenue au passage sur les gameurs, je me suis même demandée si je n’avais pas mal lu l’émetteur de ce sujet et je me suis demandée si je ne me trouvais pas en réalité sur un excellent pastiche du Gorafi Madame !  Sauf que non…

Alors certes, je n’attendais pas grand chose du Figaro Madame, ce magazine pour lequel j’ai beaucoup d’indulgence en souvenir de mes tendres années où j’y retrouvais avec plaisir les Triplés de Nicole Lambert. Après tout le journal de Serge Dassault n’est pas connu pour sa grande ouverture d’esprit ou son « avant-gardisme » culturel, mais autant d’attaques ouvertes et purement gratuites m’ont juste fait halluciner !

« on ne le soupçonnait pas, mais il y a des garçons qui arrivent à transformer cet esclavage [ndlb : les jeux vidéos] en vrai job… Ça s’appelle faire gamer professionnel et devenir un champion de e-sport. Certes, les tenants de cette discipline sont souvent des Coréens trop grassouillets, mais bon, ces gamins attardés font au moins quelque chose de leur compétence de sniper ou de chauffard virtuels »

Et le pire c’est que, à part un commentaire aussi estomaqué que moi, ce papier est passé sans bruit ni remous sur le web ! Sérieusement ???

En 2016 après les succès cinématographiques du Seigneur des Anneaux, de Harry Potter, de Narnia et de tant d’autres, je pensais que l’heroic fantasy était dorénavant un genre à part aussi bien considéré que le roman policier historique ! Mais non ! À quel vilain « truc de boutonneux accros aux maths » mon père m’a initié enfant ! Honte à lui ! Et il avait plus de 42 ans en plus à ce moment là ! Un homme irrécupérable Maman, je suis au désespoir de devoir te le dire !

Alors comme il n’est pas juste qu’il n’y ait que moi qui m’étouffe d’indignation devant cet article, bonne lecture à vous !

  • Il ne lit que de l’heroic fantasyFigaro Madame vs heroic-fantasyFigaro Madame vs heroic-fantasy

  • Elle collectionne les vernis à ongles (un petit coucou aux passages aux blogueuses beauté aliénées qui apprécieront)Figaro Madame vs blogueuses beautéFigaro Madame vs blogueuses beauté

  • Il joue tout le temps à Starcraf II (ma préférée)Figaro Madame vs gameursFigaro Madame vs gameurs

  • Elle adore les « zanimaux » mignons (je pense que cet item a été mis par dépit, il fallait trouver un autre pendant « féminin »)Figaro Madame vs Zanimaux trop mignonsFigaro Madame vs Zanimaux trop mignons

Par ce long billet (pfou ça soulage), je ne souhaite nullement jeter au pilori le journal ou sa journaliste, c’est selon moi juste une preuve qu’ils sont malheureusement terriblement « attardés » (au sens de « en retard sur leur époque » et non « déficient sur le plan intellectuel » – comme eux n’hésitent pas en revanche à qualifier les gamers pro…).

En conclusion à mes propos, et en clin d’œil à la célèbre devise du Figaro (empruntée à Beaumarchais), je souhaite mettre en exergue un autre extrait issue de la même pièce :

« Je ne dispute pas de ce que j’ignore. »

Le Mariage de Figaro, Acte IV, Scène 6

Je l’aime

par Ragnagna le 19 novembre 201516 avril 2016 dans Billets d'humeur, Vie de maman

On ne choisit pas sa famille mais ses amis dit l’adage. Ma fille, je ne l’ai effectivement pas choisie. J’ai tout au plus influencé les possibilités en choisissant le géniteur, mais cela s’arrête là. Pourtant je l’aime ma fille, même si je ne l’ai pas choisi.Ma fille

Beaucoup de mamans me parlent de la vague d’amour qu’elles ont ressenti quand, à la naissance, a été déposé sur leur ventre leur enfant. Ma vague d’amour à moi a dû être avalée par le raz-de-marée de culpabilité que j’ai ressenti en la touchant timidement pour la première fois dans sa couveuse, de longues heures après sa naissance. Pourtant je l’aime ma fille, même si je n’ai pas eu ma vague d’amour.Premier contact

Les esprits scientifiques vous expliqueront que je l’aime parce qu’elle a de grands yeux bleus, une bouille ronde et de doux trait similaires aux miens, autant d’efforts de sa part pour me plaire, m’attendrir et m’attacher à elle afin que je la protège et la nourrisse jusqu’à ce qu’elle soit autonome.Dragueuse aux yeux bleus

Moi je crois que si je l’aime, c’est parce qu’elle, elle m’a choisie. En naissant, elle m’a faite Maman, comme elle a fait le Chti Papa. C’est avec nous qu’elle apprend et explore, c’est contre nous qu’elle vient se réfugier et se réconforter.
Elle lui ressemble beaucoup, elle me ressemble un peu. Elle est un peu de nous et beaucoup d’elle : sensible, aventureuse, pétulante, aimante et merveilleuse.Un peu de nous, beaucoup de elle

Mon cœur bat quand j’entends son rire cristallin tinter, toute à sa joie ;
Mon cœur se brise quand je la vois pleurer à chaudes larmes, écrasée de désespoir ;
Mon cœur sourit quand je l’entends envoyer des bisous à Plume, comme une vieille mobylette pétaradante ;
Mon cœur fond quand je la vois courir pour s’accrocher aux jambes de son père, l’accueillant avec des cris de joie ;
Mon cœur brûle quand elle dépose sa tête au creux de mon épaule, abandonnée et confiante ;
Ma fille, je l’aime.Maman et Lucie

C’est beau la France

par Ragnagna le 18 novembre 20156 avril 2017 dans Billets d'humeur, Ma L♥uve Story

Juin 2007, nous allons fêter nos deux ans de couple. J’ai passé mes partiels avec succès, lui termine son stage de 4ème année. Comme une fois par mois, il est descendu du Pas-de-Calais pour passer une journée avec moi sur Paris.

Soucieuse de lui plaire et de l’épater, je veux l’emmener visiter un quartier de Paris que je viens de découvrir mais, comme d’habitude, je me suis perdue ! Les pieds fourbus, nous nous réfugions sur un banc dans le parc de Bercy. Nous lézardons tranquillement, collés l’un à l’autre, quand un couple de touristes s’arrête…C'est beau la France C'est beau la France 02

Le doute, mon meilleur allié de maman

par Ragnagna le 23 septembre 201516 avril 2016 dans Billets d'humeur, Vie de maman

Depuis que je suis maman, l’ombre du doute plane sur mon épaule et chuchote à mon oreille. Je n’ai jamais été la reine de la confiance en moi, ou celle de la décision ferme…20150921-doute-choix-indecision

… mais, depuis que Lucie est née, il a envahi tout mon quotidien. Chaque choix à faire est la source de conflits intérieurs interminables, chaque décision à prendre est remise en question les minutes suivantes…Être maman c'est douter

Je ne crois pas en l’instinct maternel, cette science infuse et innée sensée jaillir en chaque maman à l’éclosion hors de son ventre d’une nouvelle vie. Nous ne sommes pas plus dotées que les pères et notre utérus ne nous prodigue pas en conseils éclairés et clairvoyants…20150921-doute-instinct-maternel-uterus

Je crois en l’expérience, aux tâtonnements et aux échecs. Cela peut sembler un manque d’assurance, comme un bateau fou allant sans cap, mais ce sont ces interrogations constantes et perpétuelles qui me permettent de répondre aux besoins toujours évoluant de Lucie.

Car aucune question n’a de réponse définitive, chaque bébé est différent.
Car il n’y a pas de recettes miracles, la solution d’hier peut ne plus être celle d’aujourd’hui.
Car c’est parfois en louvoyant au vent que l’on rejoint le bon port…La Carte du Bébé

Cette culpabilité qui me colle à la peau

par Ragnagna le 3 juillet 201519 mai 2018 dans Billets d'humeur, Vie de maman

Cela fait 5 mois que Lucie est née, c’est un bébé joyeux et souriant qui grandit bien et s’éveille au monde. Bref tout va bien, et nous ne sommes pas du tout inquiet sur son développement. Mais malgré tout, je commence à croire que je n’arriverai jamais à digérer ma grossesse.RCIU culpabilité

Ainsi nous attendons, très incessamment sous peu, la naissance de la petite cousine de Lucie (promis cette fois je ne harcèle pas le Chti, j’épie juste les connexions de ma belle-sœur sur Facebook #callmecrazy). Mais avec la joie d’accueillir la future camarade de jeu de Lulu vient aussi le mauvais souvenir encore récent du stress de mon dernier mois, avec cette date d’accouchement théorique totalement folklorique, de ce ventre qui n’avait pas beaucoup gonflé (avec le recul, on comprend mieux pourquoi, c’était pas le chou-fleur mais la mini-crevette). Je me dis que j’aurai aimé pourvoir attendre paisiblement au lieu d’entamer un décompte le ventre noué.

Et puis j’ai revu une photo de Lucie à la naissance, loin du bébé joufflu d’aujourd’hui, je vois bien maintenant qu’elle n’avait que la peau sur les os.

Et puis il y a cette chanson  aux textes personnalisées au prénom des enfants entendu via le concours de Rose comme Trois Pommes qui m’a fait instantanément pleurer et tordu le ventre…20150703-culpabilite-rciu-4

Je sais très bien qu’il y a bien pire, je sais très bien que l’important est qu’elle soit vivante et en excellente santé aujourd’hui, je sais très bien que je n’ai pas à m’en vouloir. Je sais aussi que nous avons eu surtout beaucoup de chances.
Mais quand j’y resonge, je suis furieuse et triste. Furieuse que personne n’ait écouté nos doutes, triste que dès l’utérus elle ait eu à lutter pour survivre.

Ni courageuse, ni forte, ni belle

par Ragnagna le 20 mai 201520 mai 2015 dans Billets d'humeur, Ma grossesse : Un polich'tinelle dans le tiroir

Je vous ai évoqué de-ci de-là des bouts de l’histoire de ma césarienne. Mais l’envie m’est venu en lisant cet article : « Trois vérités sur les femmes qui accouchent par césarienne » d’en parler plus amplement, tellement cet article, un peu condescendant sur les bords (« lately I’ve been thinking », madame est trop bonne avec nous…) et plein de pathos (l’accouchement ce moment magiiiique qui fait naaaaître une feeeeemme), m’a fait bondir.

Avant (et pendant) l’accouchement, je ne connaissais de la césarienne que le plus basique : une ouverture dans le ventre pour sortir le bébé. Aucune femme dans mon entourage n’avait encore accouché ainsi, Lucie est la première césarisée que je connais. De la même façon lors des cours de préparation à l’accouchement, si j’ai eu des cours de poussées, de respirations, de relaxation, etc. la césarienne n’a quasiment pas été évoqué. « Pour ne pas faire peur ».

Je vous ai déjà dit aussi qu’avec ma césarienne, je n’avais pas eu l’impression d’avoir accoucher. Au final, je n’ai été qu’un corps allongé sur une table qu’on ouvrait pour sortir le paquet, je ne suis pas vraiment pour grand chose dans la naissance. Ce n’est pas pour autant que j’en suis triste : l’accouchement n’était pas une fin en soi pour moi, juste un moyen de faire naître ma fille. Elle est née autrement que la voie classique, par la sortie d’urgence, mais ce qui comptait pour moi c’était qu’elle soit dehors.

Est-ce que j’ai été courageuse lors de la césarienne ? Non. Où est le courage quand l’alternative est un risque vital pour son bébé ? J’étais prête à être ouverte directement dans la salle de travail sans qu’ils ne prennent le temps de me conduire au bloc et de me tartiner des pieds à la taille de bétadine. Où est le mérite à être étendue pendant qu’une équipe s’active derrière un carré de tissu, étendue à attendre qu’on sorte mon bébé ?Ouvrez-moi !

C’est l’après-césarienne qui est difficile, une fois l’adrénaline et la morphine dissipées, quand les hormones en pagaille et la nouvelle lourde responsabilité d’un petit têtard écrasent nos épaules. Est-ce que j’ai été forte après la césarienne ? Non. Je n’avais pas le choix : il fallait bien s’en occuper de cette mini-crevette que nous avions conçu ! Césarienne ou pas, il fallait bien que mon corps se remette à fonctionner. Même si j’aurai volontiers supplié les infirmières de me remettre la sonde urinaire tellement aller aux toilettes était compliqué les premiers jours ! Si je me suis levée sans aide 10h après la naissance pour trotter jusqu’à la néonat’ pour voir mon bébé, c’était juste une pulsion animale maternelle, rien d’exceptionnel.Redonnez moi une sonde urinaire !

Est-ce que je suis belle avec mes cicatrices ? Oh oui… magnifique avec mon ventre qui joue à floppi-floppa, mes belles vergetures et mon sourire de zombie ! Mais qu’est-ce que cela peut me faire d’être belle ? Si j’ai eu peur de regarder à nouveau mon bas-ventre le pansement enlevé, j’ai depuis apprivoisé ma peur et repris possession de mon corps. Les vergetures s’atténueront, ma cicatrice se recouvre de poils et mon ventre continuera probablement de floppipoter en rythme avec ma poitrine ! La belle affaire ! En échange de ça j’ai le plus beau des bébés du monde ! (#lamère100%objective)Ventre floppi-floppa

Je n’ai été ni courageuse, ni forte, ni belle, j’ai juste rempli mon job de maman. Le seul courage que j’ai eu a été de décider de tenter notre chance à la loterie des bébés, et encore, ça, ça se rapproche plus de la folie douce que du courage !

Est-ce que je regrette mon accouchement ? Non. Sans césarienne, Lucie ne dormirait peut-être pas dans son petit lit en bois de hêtre mais plutôt sous une petite pierre froide dans un champ de désolation. J’ai beaucoup plus de regret à voir les femmes enceintes au ventre tout rond, moi dont le ventre n’a pas su protéger mon bébé.

Si les débuts ont été difficiles, si j’aurais aimé avoir été plus informée en amont et en aval sur les césariennes et leurs suites, si j’ai toujours des douleurs occasionnelles restantes presque 4 mois après, dans tous les cas je n’ai pas été plus courageuse, plus forte ou plus belle que n’importe quelle femme. Je suis juste devenue maman et je ferais de mon mieux pour assumer le job.

Le fantôme de la maternité
Le fantôme de la maternité

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