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Ragnagna des Bois Jolis

O.B.N.I. (Objet Bloguesque Non Identifié)

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[2008] IL NEIGE !

par Ragnagna le 12 février 201230 octobre 2014 dans Au fil du crayon, Ma vie au fil du crayon avant Ragnagna, The Souricette Family

J’adore la neige à Paris : c’est comme si les vacances et le ski venaient à moi ! Cela présageait des heures de jeu dans la neige, à voir le chat se tremper les petons, à glisser sur le chemin de l’école. Bref que de la magie ! C’était donc toujours un cri de joie quand j’ouvrais mon volet et que je voyais ce paysage lumineux:

Mon premier réflexe était alors de courir dans la chambre de mon petit frère pour le réveiller et pour aller profiter de la neige à deux. Sauf que, depuis j’ai quitté ma grande chambre pour mon joli studio avec Chti, il a fallu s’adapter tout en conservant certaines traditions…

Papy est mort

par Ragnagna le 8 février 201230 octobre 2014 dans Au fil du crayon, Ma L♥uve Story, Ma vie en ligne, Une vie de souris

Il y a un peu plus d’une semaine, je vous avais raconté un cauchemar qui m’avait bien secouée (clic clic), cela ne m’étais pas arrivée depuis mon enfance mais dès le vendredi matin, j’ai recommencé ! Donc comme promis à Simon, je vous raconte :

Mon grand-père à chaque fois que nous venons chez lui fait le repas préféré de ses petits-enfants: des pommes de terre à la papy !! Mots magiques qui nous font saliver d’avance, ces fois là, je peux vous assurer que je traine pas pour aller à table !

Sauf que mon papy vieillit inexorablement et qu’un jour, il ne sera plus là pour cuisiner pour nous ce délice de mon enfance (que je classe au même niveau que les coquillettes de mamie). C’est pourquoi du haut de ma petite mi-vingtaine et de ma désastreuse expérience en tant que cuisinière, je me disais qu’il était temps que je demande à mon papy le secret de sa recette. Je l’appelle donc avec mon grand frère pour annoncer notre venue, je voulais en profiter pour présenter mon Chti à mon grand-père.
Sous la joie de notre venue, le cœur de mon grand-père s’est arrêté. Mon frère et moi assistons en direct à sa crise cardiaque à travers le téléphone, impuissant, pleurant et appelant en espérant vivre un mauvais rêve et avoir imaginé ce bruit de corps qui chute…

Ah oui je vous ai pas dit ! Je n’ai plus aucun de mes grands-parents depuis plusieurs années… Le Chti ne les a même jamais rencontrés…
Mais c’était chouette de se réveiller pour revivre la mort de mon papy… Ça m’a mis le moral à zéro pour toute la journée, heureusement c’était vendredi !

Pour finir sur une note plus joyeuse, comme vous savez j’ai une petite page Face de Bouc tenue par mon Chti et qui y poste (à rebours) les nouveaux articles et surtout les y commente et les y présente à sa façon :L’image du Chti en vélo faisant le chapelier fou fantôme m’a bien fait rire, donc bonus pour mon Chti:

J’ai trop la classe…

par Ragnagna le 5 février 201230 octobre 2014 dans Ma L♥uve Story, Ma vie au fil du crayon avant Ragnagna

Un vieux strip que j’avais fait il y a 2 ans pour tester mon cadeau d’anniversaire. Tu vois Pipou, Ragnagna « elle est très distinguée »…

Mais sans ça je suis une princesse qui ne fait pas caca bien entendu !

Un fantôme l’a tuée (version le Chti)

par Ragnagna le 31 janvier 201230 octobre 2014 dans Au fil du crayon, Ma L♥uve Story, Une vie de souris

Ce matin, vous avez eu droit à ma version. Maintenant, voici celle du Chti…


Je suis pas prête de sembler saine d’esprit à ses yeux je crains…

Un fantôme m’a tuée (version Ragnagna)

par Ragnagna le 31 janvier 201230 octobre 2014 dans Au fil du crayon, Ma L♥uve Story, Une vie de souris

J’étais dans une colonie vieillotte et austère tenue par des sœurs depuis plus de 42 ans. Une nouvelle professeur venait d’arriver et jugeait l’organisation archaïque et dépassée, elle s’était alors arrangée pour évincer les sœurs et les renvoyer dans un couvant, loin des enfants et se mit en tête de moderniser les installations et les activités.

Mais, au fur et à mesure du temps, des phénomènes bizarres se produisaient, et de plus en plus régulièrement. Ainsi une fille après avoir été poursuivie par un être invisible jusque dans sa chambre ne dut sa survie qu’à son intelligence: acculée sous la fenêtre et toutes les issues bloquées par l’être, elle modula le son strident de sa peluche en forme de nuage et le sifflement de la bouche d’aération de sa chambre en tirant alternativement sur les cordelettes. L’agresseur, surprit, relâcha sa pression et elle put s’enfuir par la porte et rejoindre les autres enfants sans être rattrapée.

Mais de la même façon, les enfants se retrouvent acculés au dernier étage de la vieille bâtisse, dans une chambre avec un grand escalier. Les fantômes montaient les marches en riant et grognant pour nous effrayer. Pour essayer de se défendre, du Coca-Cola est répandu sur le sol pour que les fantômes s’y collent, nous nous roulons même dedans en espérant ainsi glisser dans les mains des fantômes. Malheureusement, cela ne retient pas les fantômes, coincés contre le mur, nous ouvrons la fenêtre et nous nous enfuyons par le toit à la lumière du jour. L’enfant qui nous mène rigole comme une hystérique et me retient en arrière, m’empêchant de courir plus vite.

Effrayés par ce que nous avons vécu dans la bâtisse, nous restons dehors, dans un cloître, sous la protection de l’homme à-tout-faire. Son physique est malingre, plié sous le poids d’un secret et du malheur. Cependant les fantômes continuent de nous poursuivre et essayent de nous mener sous un porche spécifique qui nous transformerait comme eux. L’homme à-tout-faire courageusement les y attire un par un, s’utilisant comme appât afin de les mener sous ce porche. Les fantômes sont alors transformés à leur tour, le premier en chapelier fou qui s’enfuit en pédalant comme un fou sur une bicyclette et le second en lapin pressé d’Alice au Pays des Merveilles.

Face à cette situation critique, les sœurs sont rappelées et ramènent l’ordre dans la colonie de vacances. Pour que cela soit durable, elles donnent aux fantômes ce qu’ils souhaitaient : longtemps auparavant, l’homme à-tout-faire avait sauvé des fantômes une fille qui était depuis devenue une des professeurs. Cette jeune prof blonde et bouclée à l’air doux, aurait dû être morte et en conséquence les fantômes cherchaient leur soeur.

La situation apaisée, c’était la fin de la colo. Julien visitait ma chambre sous le toit tandis que je finissais mes valises. En remarquant sur une table des traces de doigts blanches enfoncées dans le bois, je lui avoue ne pas savoir l’origine de cette trace. Il me sourit et me répond que cette trace datait de la nuit où en dormant j’avais parlé avec un fantôme dans mon sommeil. Vu ma somniloquie, cela ne m’étonne pas que je parle en dormant avec un fantôme, en revanche l’idée me donne des sueurs froides.
Inquiète j’observe ma chambre, et je vois que les vieux tableaux poussiéreux étaient plus nombreux qu’au début, que les têtes dans les cadres changeaient tout en me grimaçant et en me regardant. Effrayée, je recule tandis que Julien reste dans l’entrée sans voir de changement.

Soudainement, une main invisible me bâillonne tandis qu’un autre bras m’entoure et me traîne au fond de la chambre, en haut de l’escalier. Les yeux écarquillés, j’essaye de crier, d’appeler à l’aide Julien qui me tourne le dos, indifférent à la situation.Le fantôme me susurre et singe à mon oreille « Ouuuh toi tu es une invité d’honneur, toi, tu as une chambre avec antichambre ! Moi je suis pas importante, j’ai juste une petite chambre entre deux chambres, ouuuuh moi je suis pas importante ! ». Et là le fantôme me relâche dans l’escalier, la tête la première…


Donc primo, j’ai des rêves bizarres. Secundo, ils ont aucune logique. Tertio, quand je dors, la concordance des temps passent aux oubliettes je crois.

Poésie de l’hiver

par Ragnagna le 27 janvier 201230 octobre 2014 dans Au fil du crayon, Entre chat et chiens, Ma L♥uve Story

Un des autres petits plaisirs de l’hiver (outre les dragons de buée) est le repli chez soi, dans la douceur de son foyer, dans la torpeur de son cocon. Ce spectacle que tout un chacun peut apercevoir le soir depuis la rue, à travers les fenêtres éclairées. A travers chacune d’entre elles, c’est un instantané de vie, la chaleur d’un foyer et le bonheur d’une famille…
Et quel plaisir quand, à sa fenêtre, on aperçoit que l’on est attendu impatiemment par un être cher…

La magie de l’hiver

par Ragnagna le 26 janvier 201230 octobre 2014 dans Au fil du crayon, Une vie de souris

L’hiver est une saison difficile et longue dans nos régions tempérées, surtout vers la fin, quand le printemps se fait attendre. Le temps maussade, la grisaille, la pluie, le manque de lumière, le monde est plongé dans une profonde léthargie pendant plusieurs mois et les matins sont difficiles.
Pour lutter contre cette morosité, je me concentre au quotidien sur mes petits plaisirs hivernaux :

Depuis mon enfance, chaque hiver, tel Gandalf, j’essaye de sculpter la vapeur d’eau sortant de ma bouche pour former un bestiaire fantastique.

Et bonne année du Dragon d’Eau à tous !

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