Nous avons tous déjà entendu je pense cet adage totalement rétrograde « Ma fille, un homme on le tient par le ventre et par les couilles *BIP* ! ».
En partant de ce principe, je suis assez mal partie pour garantir le succès de mon mariage vu que j’ai nettement plus des tendances « empoisonneuse de mari » que cordon bleu (pour rappel, mes grands succès culinaires : les saucisses éclatées – sans mauvais jeu de mots – et purée compactor ou la tarte à la crème parsemée de fraise cramée).
Le chef cuisinier à la maison, c’est bien le Chti et la cuisine est son domaine. Ce n’est pas pour rien qu’à Noël nous l’avons équipé (machine à pain, crêpières, extracteur de jus, …).
Mais comme tous les grands chefs, il n’est jamais satisfait du résultat et cherche toujours à perfectionner sa recette, habitude familiale héritée je suppose de sa maman, mais habitude familiale à laquelle je suis bien mauvaise !
Car mon palais ne connait comme avis que « encore », « très bon », « bon », « pas bon », « pas bon du tout », « je-reviens-je-dois-aller-au-toilette-si-vous-voulez-bien-m’excuser ».