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Ragnagna des Bois Jolis

O.B.N.I. (Objet Bloguesque Non Identifié)

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Étiquette : Paris

Pou pou pidou !

par Ragnagna le 10 novembre 201710 novembre 2017 dans Ma L♥uve Story

Depuis que j’ai l’âge d’exprimer mon avis, j’ai détesté les jupes et les robes (au désespoir de ma maman – qui peut compenser un peu aujourd’hui avec Lucie qui s’en moque encore – pour le moment).

Mais amour fou et idiotie du diktat féminin m’obligeait, j’ai fait quelques tentatives avec des jupes, il y a un peu plus de dix ans, quand je tentais de séduire mon Chti. Cependant, initialement, je ne pensais pas aller jusque là pour les beaux yeux de mon Chti…

Depuis le résultat est là et je me console en me disant que j’avais mis une jolie culotte ce jour là où, dans la rue de Solférino, j’ai appris à me méfier des bouches d’aération du métro…

Déconnectée du monde

par Ragnagna le 23 juillet 20169 avril 2017 dans France

J’ai choisi, les événements aidant, d’arrêter de travailler pour m’occuper un temps indéterminé de ma fille après sa naissance. En prenant cette décision je n’avais pas mesuré à quelle point j’allais passer dans un autre monde…

Jardin du Luxembourg

Mes journées étaient rythmées en heures travaillés/heures de repos, mes semaines  étaient rythmées par les week-ends et mes années étaient rythmées par les si attendues vacances.

Mon espace était vaste, chaque jour je prenais le train pour Paris. Mes gares et mon quartier parisien n’avaient aucun secret pour moi, j’en connaissais tous les moindres recoins et tous les petits raccourcis. Je musais le nez au vent dans cette ville trépidante et vibrante, observant les tendances, les nouveautés. Je me fondais telle une petite ombre dans ce paysage parisien.

Tour Montparnasse

Aujourd’hui je suis passée dans un monde où le temps est flou : je sais à peine quelle jour nous sommes dans la semaine, et je connais encore moins la date du jour, je me contente de retenir les mois. Mes seules repères sont les heures des repas de Lucie.
Spatialement ma bulle s’est réduite également autour de mon appartement, de la boulangerie et des parcs pour enfant. Je déambule dans cette zone connue et reconnue de Lucie, une zone arborée totalement déconnectée du monde, un terrain de jeu formidable pour une enfant qui découvre.

Gare de Paris Montparnasse

Je n’étais pas retournée à Paris depuis 10 mois et plein de mes petits repères autrefois quotidiens avaient changé. Les travaux dans ma gare de départ ont avancé, mon train était un nouveau matériel aménagé différemment, des passages dans la gare avaient été fermées à l’arrivée, des raccourcis m’étaient interdis par des barrières bloque-poussettes. De bout du décor, je suis devenue une étrangère cherchant quelques bouts de nostalgie.

Arbre supporter au jardin du Luxembourg

Plus frappant encore, je n’étais pas retournée dans mon quartier depuis les attentats de novembre 2015, des « mesures » (comme les politiques aiment dire) ont été prises par certains organismes : ainsi la cour de récréation arborée que j’aimais tant regarder à travers sa grille pendant mon trajet est maintenant dissimulée derrière un haut mur de métal. Même histoire pour mon ancienne fac, j’y faisais toujours un petit tour quand je passais devant mais ce matin un gardien contrôlait à la porte les identités des étudiants et professeurs, derrière lui de nouvelles barrières étanches bloquées des lieux autrefois ouverts.

Curieuse impression pour moi de voir ces murs se dresser autour d’espaces autrefois ouverts, car si je suis déconnectée, le monde semble (lui) continuer de tourner follement.

Jardin du Luxembourg

C’est beau la France

par Ragnagna le 18 novembre 20156 avril 2017 dans Billets d'humeur, Ma L♥uve Story

Juin 2007, nous allons fêter nos deux ans de couple. J’ai passé mes partiels avec succès, lui termine son stage de 4ème année. Comme une fois par mois, il est descendu du Pas-de-Calais pour passer une journée avec moi sur Paris.

Soucieuse de lui plaire et de l’épater, je veux l’emmener visiter un quartier de Paris que je viens de découvrir mais, comme d’habitude, je me suis perdue ! Les pieds fourbus, nous nous réfugions sur un banc dans le parc de Bercy. Nous lézardons tranquillement, collés l’un à l’autre, quand un couple de touristes s’arrête…C'est beau la France C'est beau la France 02

4 places de Paris en 4 stations de métro

par Ragnagna le 24 mars 201430 octobre 2014 dans Carnet de voyage, France

Paris en 4 stations de métroJeudi dernier, pour le boulot, j’ai dû traverser Paris avec mon appareil photo de long en large via son métro. Le printemps bourgeonnait partout, le temps était à la promenade aussi je n’ai pas résisté et ai joué ma touriste dans quatre places symboliques de Paris et de la République. Je suis allée de la place de l’Étoile…

Place Charles-de-Gaulle, l'Arc de Triompheà la République…

Place de la République…en passant par Nation…

Place de la Nation…et Bastille !

Place de la BastilleSans oubliez de vous évoquer ma bonne ville de Versailles que j’ai retrouvé à Paris sur la plage avant d’un taxi !Versailles en boîte à mouchoirs

Paris en 4 stations de métro
Place Charles-de-Gaulle, l'Arc de Triomphe
Place Charles-de-Gaulle, l’Arc de Triomphe
Place Charles-de-Gaulle
Place Charles-de-Gaulle
Versailles en boîte à mouchoirs
20140320_PARIS_04
Place de la Nation
Place de la Nation
Place de la Nation
Place de la Nation
Place de la Nation
Place de la Nation
Place de la Bastille
Place de la Bastille
Place de la République
Place de la République
Place de la République
Place de la République
Place de la République
Place de la République
Place de la République
Place de la République
Place de la République
Place de la République
Place de la République
Place de la République

Celle qui ne savait pas crier

par Ragnagna le 23 août 201330 octobre 2014 dans Au fil du crayon, Billets d'humeur, Une vie de souris

« Les vents me sont moins qu’à vous redoutables.
Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu’ici
Contre leurs coups épouvantables
Résisté sans courber le dos ;
Mais attendons la fin. »

Le chêne et le roseau, Jean de la Fontaine.

Je peux râler, jurer, pester, soupirer, rouler des yeux exaspérée mais jamais, ô grand jamais, crier, protester, tempêter. En 5 ans de vie commune, le Chti ne m’a vu crier qu’une seule fois (sur des enfants qui mettaient Plume en danger). Autrement jamais une parole au-dessus de l’autre, il pourrait s’époumoner que le débit de mon petit filet de voix ne s’élèvera pas.

À cette impossibilité physique de crier, même si ma poitrine étouffe d’indignation, s’ajoute une maigre capacité à argumenter et à me faire comprendre. À croire que tout va trop vite dans mon esprit et que cela bouchonne à la sortie de mes lèvres en un bafouillage embrouillé et confus. Ceci sans compter mon formidable esprit de l’escalier : dans le feu de l’émotion, je suis toujours incapable de réfléchir posément et de répliquer intelligemment, le cœur emballé à folle allure.

Enfant, j’avais trouvé comme solution, pour résoudre les conflits, l’utilisation des poings et des dents. Après quelques claques bien placées aux matadors de la classe (il faut savoir rester féminine), je gagnais une année de tranquillité.
Aujourd’hui où je fais une tête de moins que tout le monde, suis costaude comme un petit doigt (et accessoirement suis sensée être devenue civilisée), je ne sais pas me défendre. Face à un reproche injustifié, j’essaye juste de me tenir droite face aux déferlements d’accusations, faible moyen de conserver un semblant de dignité. Cachant de mon mieux mes genoux qui tremblent de courroux, la rougeur d’humiliation qui monte à mes joues et les larmes qui s’accumulent à mes yeux, je bafouille bêtement et me ridiculise attendant de trouver un moyen de fuir.

ConnardConnard 2Connard 3Connard 4Je suis encore furieuse que ce type m’ait touché, son discours et son argumentation ne tenaient pas debout et je le savais alors, comme je sais que c’est uniquement (et en toute objectivité) un vieux con (qui avait pris comme comparse un poivrot). Ne pas avoir su le lui prouver, ne pas avoir pu défendre ma position, ne pas lui avoir claquer son bec me rend folle de rage…

La Gare de Lyon (de Paris)

par Ragnagna le 30 avril 201330 octobre 2014 dans Carnet de voyage, France

Jeudi dernier, je suis passée en coup de vent dans la Gare de Lyon pour mon boulot. J’en ai profité pour prendre quelques photos de cette si belle gare parisienne…

La Gare de Lyon a une disposition assez particulière avec deux séries de voies, comme la majorité des gares parisiennes qui se sont construites au fur et à mesure de la montée en puissance du transport ferroviaire dans un milieu urbain déjà dense.
Aussi les 13 voies  inaugurée en 1901, nommées par les lettres de A à N (sans B ni D – peut-être pour leurs sonorités trop proches et aisément confondables ?), se trouvent séparées par la longue salle des pas perdus (ou salle des fresques) des 5 autres voies datant de 1927, numérotées elles par des chiffres.Plan Gare de LyonJe suis arrivée à la Gare de Lyon par l’extérieur, me guidant avec la pointe de la Tour de l’Horloge, haute de 67m elle se repère de loin ! Chiffres amusants, les chiffres romains font 1m de haut et sont peints à la main, la grande aiguille fait 4m de haut et pèse 38kg tandis que la petite fait « juste » 2,8m pour 26kg…Tour de l'Horloge, Paris Gare de LyonL’entrée principale est protégée par un grand auvent lumineux aux ferronneries travailléesFerroneries de Paris Gare de LyonLe hall principal, comme toutes les anciennes gares, est constitué d’une large verrière illuminant la gare mais également haute pour permettre aux fumées des trains à vapeur de s’élever…Paris Gare de LyonParis Gare de LyonDétails de la verrière de Paris Gare de LyonAu centre de la gare, face aux quais, le très célèbre Train Bleu et ses toilettes hommes avec vue sur la gare.Entrée du Train Bleu, Paris Gare de LyonAu pied des quais, un marchand ambulant de presse, avant-poste des Relay que l’on peut retrouver partout dans la gare…Presse ambulanteEt la balade s’est terminé dans le métro avec son célèbre jardin exotique…Ligne 14, Gare de Lyon, jardin exotique

Tour de l'Horloge, Paris Gare de Lyon
Ferroneries de Paris Gare de Lyon
Détails de la verrière de Paris Gare de Lyon
Paris Gare de Lyon
Entrée du Train Bleu, Paris Gare de Lyon
Ligne 14, Gare de Lyon, jardin exotique
Presse ambulante
Plan Gare de Lyon
Paris Gare de Lyon

La dame de Fer (d’en bas, de dedans mais surtout d’en haut !)

par Ragnagna le 22 février 201330 octobre 2014 dans Au fil du crayon, Carnet de voyage, France

Je vous ai raconté la première partie de cette journée à Paris avec Gaëlle, à fureter autour de Notre-Dame de Paris.
Aujourd’hui voici la suite, notre objectif étant d’aller encore plus haut dans le ciel de Paris, quoi de plus haut que la Tour Eiffel alors ?

Mais tout d’abord un petit détour sur les quais de bord de Seine, direction un bâtiment dont la forme atypique dans le Paris haussmannien nous avait attiré du haut de Notre-Dame.Il y a quelqu'un ?Interdiction de jeter l'ancreAlors petit quiz, qu’est-ce qui est de verre avec des semelles rouges ? Une idée ?
Eh non, ce ne sont pas un nouveau modèle Cendrillon de Louboutin mais les célèbres escalators du Centre Pompidou…Les Louboutins de BeaubourgCe bâtiment bizarre, fait de métal et de verre, de tuyaux géants et d’échafaudage a été surnommé à son inauguration « Notre-Dame des Tuyauteries ». C’est sûr qu’il détonne autant qu’il fascine !
Sur le parvis, des troubadours divertissent avec des tours de magie, des spectacles de bulles ou de danses tandis que les pétales colorés du « stabile-mobile » Horizontal d’Alexander Calder pirouettent au vent…Crée en 1974 et donné aux collections françaises à la mort de l’artiste, il avait été vu pour la dernière fois en 1992 sur le parvis de la Défense. Un beau bestiau de 6 tonnes quand même…Stabile-Mobile Horizontal de CalderMais pas le temps de rester plus longtemps autour de Beaubourg, ce sera pour une autre fois, nous partons pour notre rendez-vous de l’après-midi, le monument parisien le plus connu et le plus symbolique, l’incontournable, le phare de Paris, bref vous l’avez reconnue:

Je ne résiste pas (formation d’histoire oblige) à vous faire un petit résumé historique (mais vous pouvez faire comme le Chti et zapper !).

Premier croquis de ce qui deviendra la Tour Eiffel

En 1884, Jules Ferry alors Président du Conseil signe le décret annonçant une nouvelle Exposition Universelle à Paris en 1889, date anniversaire de la Révolution Française. Dès cette date, les ingénieurs des bureaux Eiffel Maurice Koechlin et Émile Nouguier travaillent sur un projet de pilône métalique culminant à 300m, hauteur jusqu’alors jamais atteinte.

Le projet est modifié par Stephen Sauvestre (architecte des ateliers Eiffel) qui rajoute au projet les pieds en maçonnerie, les arcs pour soutenir le premier étage et réduit le nombre d’étage intermédiaire. Ce projet convainc enfin Gustave Eiffel qui commence alors un travail de lobby auprès des décideurs pour faire accepter le projet.

Un concours va donc être lancé par Édouard Lockroy, ministre du Commerce, en mai 1886 pour une tour de fer de 300m avec base carrée de 125m de côté, concours gagné par Eiffel naturellement (que certains soupçonnent aujourd’hui d’avoir soufflé le cahier des charges du concours).

En septembre 1887 une convention est signée entre Gustave Eiffel, Édouard Lockroy et Eugène Poubelle, préfet de la Seine représentant Paris, donnant les modalités de construction et d’exploitation de la Tour à venir, les travaux peuvent commencer.
250 ouvriers travailleront en même temps sur ce chantier, assemblant les pièces dessinées et pré-assemblées dans les ateliers d’Eiffel à Levallois, comme un jeu de construction géant ou une bibliothèque Ikea avant l’heure.

Ils se termineront en mars 1889, en retard d’une année mais à temps pour l’exposition. À noter qu’aucun ouvrier ne sont morts sur ce chantier (contrairement à Versailles ou la muraille de Chine par exemple), à l’exception d’un ouvrier le jour de repos qui avait voulu faire le mariole devant sa fiancé.

Ce « squelette de beffroi » selon les termes de Paul Verlaine a été dès son projet contesté, comme plus tard le Centre Pompidou l’a été. Un collectif d’artistes (comptant en ses membres Guy de Maupassant, Alexandre Dumas fils, etc.) disait d’elle :

II suffit d’ailleurs, pour se rendre compte de ce que nous avançons, de se figurer une tour vertigineusement ridicule, dominant Paris, ainsi qu’une noire et gigantesque cheminée d’usine, écrasant de sa masse barbare : Notre-Dame, la Sainte-Chapelle, la tour Saint-Jacques, le Louvre, le dôme des Invalides, l’Arc de triomphe, tous nos monuments humiliés, toutes nos architectures rapetissées, qui disparaîtront dans ce rêve stupéfiant. Et pendant vingt ans, nous verrons s’allonger sur la ville entière, frémissante encore du génie de tant de siècles, comme une tache d’encre, l’ombre odieuse de l’odieuse colonne de tôle boulonnée.

Pour assurer la pérennité de la tour face à ces détracteurs, Gustave Eiffel avait lors de la conception et du projet d’exploitation, mis en avant l’usage scientifique qui pouvait être tiré de ce bâtiment unique, pour l’aérodynamisme, les souffleries, la météorologie, la diffusion hertzienne, etc.
C’est dans cet esprit que nous pouvons lire sur le pourtour du premier étage, soixante-douze noms de scientifiques français ayant vécu entre 1789 et 1889.

Les noms des savantsAprès cette pause historique, qui correspondra pour vous au long temps d’attente que nous avons eu au pied de la tour à regarder les touristes et les policiers à vélo, il est temps de payer et de grimper dans l’ascenseur.Impatientes comme nous étions après les deux heures de queues, nous avons été directement au sommet et dernier étage embraser l’horizon du regard et les nombreux monuments parisiens, à commencer au pied de la tour par le Trocadéro…Le Trocadérola tour Montparnasse (c’est nous les plus grandes euh !), Tour Montparnassel’Hôtel des Invalides (dont le nom vient de l’origine du bâtiment destiné à hébergé les invalides de guerre, nombreux durant le règne de Louis XIV) et sa célèbre coupole dorée,L'Hôtel des Invalidesnous retrouvons Notre-Dame (qui d’un coup semble ridiculement petite !),Notre-Dame de Parisle Grand Palais et en vis-à-vis le Petit-Palais, à leur droite la Place de la Concorde (son obélisque et sa grande roue),Grand Palais, Petit Palais et place de la Concordele vaste Palais du Louvre (dont vous pouvez apercevoir dans sa cour la fameuse pyramide en verre, elle aussi beaucoup décriée à son inauguration) et en arrière-plan Notre-Dame des Tuyauteries (si vous n’avez pas suivi, je parle du Centre Pompidou),Le Louvreet encore, last but not least, une porte qui nous sert de rond-point : l’Arc de Triomphe !L'Arc de triompheCe petit panorama à 360° réalisé, vous vous dites comme moi probablement : c’est fou ce que l’on voit bien de là-haut ! Je vais vous avouer le truc, sans l’objectif de l’appareil photo, en vrai, la vue ressemble plus à Paris Miniature :  Mais il est temps de quitter le troisième étage et son bar à champagne, nos doigts sont gelés sur les déclencheurs de nos appareils photos…

Ça caille en haut Une pensée pour les détracteurs de la Tour… « Et pendant vingt ans, nous verrons s’allonger sur la ville entière […] comme une tache d’encre, l’ombre odieuse de l’odieuse colonne de tôle boulonnée« Dans l’ascenseur nous pouvons admirer de près l’ouvrage métallique et le petit bonhomme Tour Eiffel (qui rappelle le lapin RATP)…Deuxième étage, tout le monde descend ! On reprend les mêmes monuments mais sous un nouveau point de vue et au soleil couchant,Grand Palais et Petit PalaisPlace de la ConcordeHôtel des InvalidesOn aperçoit également le Sacré Cœur se détachant du ciel au fond,Le Sacré Coeuret un bâtiment bizarre, ressemblant à une ruche et qui se révèle être le nouveau Musée su Quai Branly !Musée du Quai BranlyÀ nos pieds, les rues si caractéristiques du Paris Haussmannien,au loin les tours modernes du quartier de La Défense…La DéfenseAu-dessus de nous, la pointe de la Tour et le ciel,En-dessous la Seine, ses ponts, l’île artificielle aux Cygnes (sur laquelle vous pouvez distinguer au bout la réplique de la Statue de la Liberté),et le métro !Mais il faut continuer de descendre alors direction le premier à pieds, moment où je me suis mise à mitrailler la Tour plutôt que Paris…Et puis voilà… Notre voyage dans Paris touche à sa fin (QUI A DIT ENFIN ?! Qu’il se dénonce !), nous ne sentons plus aucune extrémité de notre corps, mais nous sommes ravies !
Pour saluer notre départ, la Tour s’illumine et met son habit de soirée… Et comme la journée avait débuté dans le métro, elle se termine dans le RER…

Ça caille en haut
Ça caille en haut
Premier croquis de ce qui deviendra la Tour Eiffel
Premier croquis de ce qui deviendra la Tour Eiffel
Il y a quelqu'un ?
Il y a quelqu’un ?
Interdiction de jeter l'ancre
Interdiction de jeter l’ancre
Les Louboutins de Beaubourg
Les Louboutins de Beaubourg
Stabile-Mobile Horizontal de Calder
Stabile-Mobile Horizontal de Calder
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Les noms des savants
Les noms des savants
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Pilier Est
Pilier Est
Le Trocadéro
Le Trocadéro
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Place de la Concorde
Place de la Concorde
Le 3ème étage
Le 3ème étage
Tour Montparnasse
Tour Montparnasse
Hôtel des Invalides
Hôtel des Invalides
Notre-Dame de Paris
Notre-Dame de Paris
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Grand Palais et Petit Palais
Grand Palais et Petit Palais
Le Louvre, sa pyramide et le Centre Pompidou
Le Louvre, sa pyramide et le Centre Pompidou
L'Arc de triomphe
L’Arc de triomphe
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Dans l'ascenseur
Dans l’ascenseur
Dans l'ascenseur
Dans l’ascenseur
Grand Palais et Petit Palais
Grand Palais et Petit Palais
Place de la Concorde
Place de la Concorde
Le Sacré Coeur
Le Sacré Coeur
Hôtel des Invalides
Hôtel des Invalides
Le Musée du Quai Branly
Le Musée du Quai Branly
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La Seine et l'île artificielle aux Cygnes
La Seine et l’île artificielle aux Cygnes
La Seine et l'île artificielle aux Cygnes
La Seine et l’île artificielle aux Cygnes
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La patinoire de la Tour
La patinoire de la Tour
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Fin de journée dans le RER
Fin de journée dans le RER
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