Dans notre couple, les joies des papelards administratifs c’est pour bibi (ou alors si j’attends que le Chti se décide à s’y mettre, c’est pour la Saint-Glinglin)… A chaque fois c’est une galère : je sue à grosses gouttes, appelle ma môman au secours, sue à grosses gouttes derechef, interroge Sainte Dudule et Sir Gogole avant de jurer d’étriper le type qui invente ces formulaires à la noix !
Heureusement j’adore ce sentiment de fierté, de travail accompli que je ressens quand je clos chaque dossier. D’ailleurs mes premiers impôts j’en étais si fière que je les avais dessinés ici pour partager avec vous !
Mais ce que je ne vous ai pas encore raconté c’est que quelque soit le soin que j’apporte à compléter ces quêtes épiques remplir xes papiers, je fais toujours buguer les système informatiques…
Parfois cela provoque même des situations ubuesques comme ici la complémentaire du Chti (à laquelle je suis affiliée en tant que pacsée ) qui nous écrit :
Eh oui vous n’avez pas mal lu « votre enfant Ragnagna » ! Mon Chti était très mature pour son âge : à 1 an il était papa… Ah oui et un peu incestueux sur les bords aussi (mais pas pédophile, l’honneur est sauf !).
J’aurais encore été étudiante, j’aurais tenté d’envoyer mon certificat de scolarité pour voir tiens… Même la personne que j’ai eu au téléphone pour corriger mon statut n’avait jamais vu ça (et s’est bien bidonnée !).
Toujours plus fort: mardi je me plains de ce mauvais karma au Chti. Juste après nous allons chercher nos nouvelles lunettes… Et là, pouf rebelote: le système informatique annonce que le client (par déduction : moi) est déjà venu prendre les lunettes le matin même. Le pauvre vendeur ne savait plus ou les chercher ni comment me faire ma facture…
Conclusion : pourquoi faire simple quand on peut faire compliquer et recommencer trois fois les mêmes démarches administratives !! C’est si fun !