Quand j’ai choisi d’appeler mon chat Plume il y a 12 ans, je n’avais pas pensé que beaucoup de monde me demanderait « si elle était pleine » ou se gausserait en disant que « ce n’est pas un poids plume ! ».
Je n’avais pas imaginé non plus la galère que ce nom serait à prononcer pour ma petite fille des années plus tard : pendant longtemps elle a claqué de la langue pour l’appeler avant de l’appeler « Papou » juste au moment de sa mort.
Des mois après ce jour noir, je me rends compte que je n’avais pas non plus imaginé le quiproquo que cela provoquerait dans la tête de ma deux ans :
Donc si vous ne le savez pas, moi je vous le dis, les plumes ne viennent pas des oiseaux mais du dos de mon chat adoré … Voilà… J’essayerai de reprendre l’explication plus tard !
En attendant, Lucie est passée à chaque fois que l’on allait au parc me montrer cette petite plume blanche pour me parler de Papou jusqu’à ce qu’elle finisse par se décomposer…
Je pensais qu’à 2 ans sa mémoire durerait moins longtemps, mais son « Ploume » comme elle commence à dire est toujours dans sa tête et son cœur. Ce souvenir est sans doute gardé en vie par les copains-chats de Plume qu’elle nourrit avec bonheur dans notre résidence des bonbons qu’elle achète pour eux au magasin.
On aimerait lui offrir la chance de rencontrer un nouveau Plume, un chat avec qui elle pourrait grandir et s’épanouir à nouveau. Son chat à elle, pour qu’elle n’attende plus Plume et ne le cherche plus.
Aussi si jamais vous avez entendu parlé d’une portée de chatons nés dans une famille pas trop loin de la région parisienne et qui serait à donner à partir de juin, n’hésitez pas à me contacter…
On cherche pour elle un gentil petit mâle, qui ne soit ni de race LOOF (j’ai eu une triste expérience avec mon chartreux, je veux plus que des gouttières !), ni noir (pas par superstition, mais pour éviter la confusion avec deux chats des voisins).

Loin de moi l’idée de tresser des lauriers au Chti : il n’est toujours pas
Mais bien souvent il est toujours là pour m’aider et me soutenir…
… même si parfois je suis moi aussi une vraie « pain in the ass » !
Ce n’est ni son anniv, ni notre anniv, ni la Saint-Valentin, ni la fête des pères, des maris ou des petits amis, mais il n’y a pas de jours pour dire merci mon Juju !
Je ne peux même pas me consoler en me disant que mes si précieux contenus, fabriqués à la sueur de mon auguste front par mes petits doigts boudinés, sont pillés pour leur grande qualité intrinsèque, par de jaloux méchants souhaitant récupérer une part de mon immense gloire internationale. Non ! C’est juste qu’ils avaient besoin de textes pour combler entre leurs pubs…
Enfin bref, j’ai fait ce que j’ai pu et signalé l’atteinte à mes droits d’auteur à leur hébergeur (après recherche sur l’annuaire numérique 

Alors surtout, si jamais vous n’avez plus de nouvelles de moi pendant trop longtemps, appelez vite les secours parce que je crois que Chtiulk me regarde méchamment…

C’est un
C’est une immense étape à l’horizon pour la jeune maman que je suis…
Et si Papa se moque un peu de moi, lui aussi appréhende à sa manière ce cap où Lucie grandira et apprendra loin de nous…

Je me revois encore faire des acrobaties pour déposer Lucie dans son lit, il m’a fallu plusieurs mois pour ne plus sentir de douleurs dans mon bas-ventre (et ça arrive encore que ça me lance…). L’accouchement est peut-être moins douloureux, mais derrière on douille quand même aussi…
Et ce qui est encore plus drôle c’est que quand la perceuse a changé de vitesse, cela devenait la fraise du dentiste ! Tout mes pires cauchemars réunis en un seul outil ! Géniaaaaal ! Même en super promo chez Casto je n’en veux pas !