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Ragnagna des Bois Jolis

O.B.N.I. (Objet Bloguesque Non Identifié)

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Quand Maman travaille

par Ragnagna le 30 janvier 201830 janvier 2018 dans Vie de maman

Quand un sondeur X ou Y vient me chercher pour me demander ma catégorie socio-professionnelle, je suis toujours bien marie et ne sais jamais trop dans quelle case me ranger. Lors de ma grossesse j’ai été licenciée et depuis je n’ai pas repris de travail salarié à proprement parler : je me suis mise en auto-entrepreneur pour pouvoir garder un pied dans le monde professionnel tout en m’occupant principalement de ma fille à côté.

C’est une décision que j’ai pu prendre et qui finalement nous convient à tous les trois. Mais travailler à la maison est une gymnastique pas forcément toujours évidente avec une asticote de 3 ans dans les pattes…

Avoir l’air professionnelle et efficace est un vrai challenge quand il faut se battre puis négocier le clavier contre une petite fille amoureuse des épopées romanesques afin d’écrire ce mail hyper important et urgent…

Lucie grandissant, j’ai finalement trouvé comment négocier des temps de paix pour travailler intelligiblement avec elle dans les parages : je lui signale avant chaque appel professionnel que c’est un appel pour mon travail…

Je sais que tout du long elle me surveille du coin de l’œil, car à chaque fois que je raccroche elle rapplique immédiatement fière comme un coq…

Je ne suis cependant pas toujours à l’abri d’un imprévu…

 

Haute comme trois pommes, grande comme trois ans

par Ragnagna le 26 janvier 201827 janvier 2018 dans Apprentissages de bébé

Une année se termine à nouveau pour ma crevette. Une année riche en nouveautés pour ma petite bouclée : le grand lit en hauteur, Nifhel, l’école, la fin des couches, … En un an elle a encore gagné en agilité et en finesse dans ses mouvements, le terrain de jeu de la maison ou du parc ne suffit plus à son bonheur, dès que possible cette ouistiti sera inscrite à un cours de gym !!!

Son langage lui est de plus en plus clair, avec des adjectifs, des pronoms personnels, des adverbes et des verbes conjugués au présent, au passé composé et au futur proche !!

Elle a mille expressions qui lui sont propres et qui font tout son charme…

Toujours pareille à elle-même, elle reste une petite fille vive et aimable mais je trouve les trois ans plus durs que les deux. C’est peut-être notre nouveau rythme avec l’école qui la fatigue plus et la fragilise émotionnellement ? En tout cas je patauge un peu avec elle en ce moment, elle est débordée par ses émotions, sa grande sensibilité et son bon cœur…

Observatrice et empathique, elle a dû mal à séparer ses émotions de celles des personnes l’environnant, voir des personnages en arrière-plan de son histoire du soir…

Régulièrement à l’heure de la sieste, elle entend Gambas, un chien habitant un appartement voisin, pleurer et il lui faut alors plusieurs câlins et la certitude que Maman Gambas va rentrer bientôt et que Gambas sera contente pour s’endormir rassérénée…

Face à ce trop-plein de sentiments et d’émotions, je la trouve plus anxieuse en général. Et pour tenir, elle intériorise beaucoup et se replie en elle-même. Ainsi malgré que le cinquième mois d’école se termine et qu’elle aime tendrement ses maîtresses et son ATSEM, qu’elle apprécie les activités proposées en classe (à m’en casser les oreilles), elle ne parvient pas encore à se séparer sereinement de moi tous les matins. Elle n’est pas fille à hurler sa peur et sa douleur, à se rouler par terre en s’égosillant tout en prenant un beau teint écrevisse, si elle ne pleure plus autant qu’au premier jour, c’est qu’elle se mord le poing violemment…

À tout prendre, je crois que j’aurai préféré les cris… Si sa discrétion dans son désespoir est très appréciée en société (elle ne fait pas de vague !), il est aussi bien souvent minoré car plus invisible et imperceptible que celui d’un enfant s’égosillant.

Je suis si désespérée à chercher une voie pour l’aider à extérioriser ses sentiments que j’ai voulu tenter le yoga, me disant qu’au pire cela lui ferait des activités physiques sympas. Ça n’a pas fonctionné pour le moment, par contre le hic c’est que depuis elle me harcèle non-stop…

 

Une autre activité que j’essaye d’utiliser pour l’aider et le dessin, essayer d’écrire ou dessiner ses émotions. Et sur ce champ là aussi j’ai vu une évolution avec ses premiers « bonhommes ». Maman étant le centre de sa vie, j’ai même eu l’honneur d’être une de ses premières patates… euh modèle !!!

Heureusement nous avons déjà pour communiquer avec elle, l’échelle du « ça va » qu’elle a créée. Selon sa réponse, on sait si la situation nécessite une intervention immédiate du câlin ou si elle peut repartir d’elle-même.

Trois ans est un vrai âge de transition vers la grande fille, la chipie en joue totalement en étant tour à tour ce qui l’arrange…

Les héros qui ont accompagné ma petite grande cette année ont été de plus en plus nombreux, avec une assez belle constance dans l’année mais une passion de plus en plus vive…De cette année écoulée je pense que Lucie conservera deux choses dans son cœur :

  • en premier lieu – et avant tout – l’arrivée de Nifhel et de Nùmenor dans sa vie, ses deux amours félins. Nifhel est pour elle un alter-ego, un ami fidèle, une peluche vivante. Je ne peux tout simplement pas m’occuper de Nifhel quand elle est là car elle doit tout faire : les croquettes, lui ouvrir la porte, jouer, le brosser, …

 

 

  • autre fait marquant inoubliable : elle est montée sur un âne !!!! Elle nous en reparle souvent et n’attend que le moment où elle pourra recommencer !

 

Une année qui se termine, et une nouvelle année qui commence. Nous sommes parés pour une année de plus auprès de notre Castafiore rossignol préféré !

L’ironie dans ma vie

par Ragnagna le 25 janvier 201826 janvier 2018 dans Tranches de vie

Il y  a 3 ans je partais en urgence au bloc, je n’avais aucune idée du niveau de déchéance qu’atteindrait ma vie trois années après…

Tout ça pour la faire uriner avant d’aller se coucher ! On est prêt à toutes les ruses quand on devient parents !

Schrödinger

par Ragnagna le 24 janvier 201823 janvier 2018 dans Ma grossesse : Un polich'tinelle dans le tiroir

Début décembre dernier nous avons eu comme un goût de déjà-vu : une fatigue écrasante, ma poitrine douloureuse au réveil et qui gonfle, mes règles qui se font attendre, … Bref tous les indicateurs d’une nouvelle grossesse était là ! Pour confirmer le tout par principe, je fais le classique pipi sur bâtonnet à capuchon rose layette. Deux barres qui s’affichent, bref c’est parti !

Si pour Lucie nous étions déjà un peu pétés de trouille, nous ignorions encore réellement ce pour quoi nous signions : cette fatigue écrasante face à ces nuits sans sommeil, les petits et grands bobos, cette éreintante demande constante d’attention et de surveillance, ces trésors de diplomatie à inventer et déployer, … Bref tout le sel sans glamour de la vie de jeunes parents !

Et pour le deuxième, à toute cette liste s’ajoute les besoins de l’aînée ! À la lecture du résultat attendu et désiré, on est juste triplement pété de trouille…

Mais à côté de la trouille, le rêve commence aussi, on imagine, on se prépare pour ce jour du mois d’août 2018…

Je retrouve la routine de la femme enceinte avec mes deux premières prises de bêta-HCG à 48h d’intervalle pour confirmer la grossesse  : cette « DDR » (date des dernières règles) que l’on me demandera avant chaque rendez-vous ou examens, ces prises de sang mensuels (car j’ai eu la mauvaise idée d’oublier d’attraper la toxoplasmose avant – pourtant, croyez-moi, je m’applique : je ne nettoie pas particulièrement mes légumes, je préfère la viande saignante et j’ai des chats qui sortent et dont je nettoies le bac à sciures depuis que j’ai 12 ans !!!). Bref les petites trucs de la grossesse…

Puis, le 19 décembre, les résultats tombent, comme un couperet…

 

Entre le rayon des liquides vaisselle et celui des éponges, nos rêveries s’effondrent. Les taux de bêta-HCG n’évoluent pas assez vite. Trois hypothèses à cette heure s’ouvrent à nous :

  • au mieux je fais partie des femmes avec des taux qui évoluent anormalement sans que cela compromette la grossesse ;
  • plus probablement la grossesse est non évolutive et je devrai expulser naturellement l’œuf, ou alors aller réaliser une interruption médicale de la grossesse ;
  • dans le pire des cas l’œuf se développe hors de l’utérus et je vais devoir être opérée en urgence.

À quelques jours des fêtes de Noël, c’est la douche froide. Ma semaine marathon avec Lucie sous le bras commence alors, entre l’école, l’expédition avec valise et pains de glace pour rapporter la viande de Nifhel, passage chez la gynéco pour des nouvelles ordonnances, prises de sang et échographie.

Je ne sais pas si je dois me ménager ou si c’est peine perdue… Chaque déplacement m’angoisse : et si la fausse couche se déclenche alors que je suis partie loin à pieds avec Lucie ? Dans le doute, je mets par sécurité dans mon sac à main une couche et une culotte propre pour moi, à côté du change de Lucie. Je paranoïse à chaque instant à chaque petites choses que je ressens et perçois comme anormal, à en rendre dingue le Chti !

Au 21 décembre tristement les bêta-HCG ne s’envolent pas mus par un miracle particulier, ils continuent de stagner. Tout espoir est pour nous perdu. À ce stade, on espère juste éviter l’hospitalisation à cause d’une éventuelle grossesse extra-utérine pour ne pas gâcher ce Noël qui arrive et que Lucie attend avec tellement d’impatience et de joie.

C’est la mort dans l’âme que j’attends mon rendez-vous pour l’échographie et donc la confirmation définitive de la non-viabilité de ma grossesse. L’attente au milieu des futurs parents enamourés caressant tous ces ventres ronds et couvant de regards rêveurs ma petite fille sagement assise à mes côtés s’appliquant sur ses gommette tient de la torture. Arrive mon tour…

La bonne nouvelle ! Enfin une bonne nouvelle ! On peut partir pour les fêtes sans s’inquiéter outre mesure, on aura pas à annoncer à Lucie que Noël sera une autre année !! Mais aussi l’espoir fou qui renaît… et si ? Pour Lucie la médecine n’avait rien vu, peut-être que je suis un numéro bizarre qui fait mal mais que ça marche quand même ? J’ai rendez-vous deux semaines plus tard, le 3 janvier, pour suivre l’évolution, avec les fêtes difficiles de faire plus vite.

D’ici là, c’est l’attente, angoissante et interminable. C’est à ce moment là qu’on a décidé d’appeler ce petit truc « Schrödinger », car plus que jamais on ne savait pas si c’était mort ou vif à l’intérieur de mon utérus. Les fêtes de Noël passent, Lucie déclenche sa varicelle (c’est bien ma fille ça : tomber malade pendant les vacances !), l’anniversaire du Chti arrive et ce même jour, le 30 décembre à 6h du matin, Schrödinger aussi…

J’ai bien choisi ma date, on s’en souviendra de cette anniversaire là ! Lui à la maison avec Lucie et ses boutons, et moi aux urgences pendant plus de 4h pour attendre ma piqure de Rophylac (et oui ça m’apprendra à ne pas être – rhésus – positive…)

C’était le moins pire des pires cas, je suis heureuse que ma fausse couche se soit déclenchée spontanément, je ne voulais pas aller à l’hôpital pour la déclencher. Tout du long le personnel médical a été plutôt sympa avec moi et mes petits hauts et bas. Un mois après j’ai déjà l’impression qu’une année nous sépare de ces longues heures.

Comme disent les anglophones « shit happens » et « c’est la vie ». On aurait aimé que cela soit autrement mais c’est une histoire douloureusement classique : il suffit d’en parler pour entendre combien l’on est nombreux à traverser cette épreuve. Je suis assez jeune pour pouvoir retenter avec le Chti, j’ai déjà Lucie (et si besoin je m’en contenterai), ma santé n’a pas été compromise, de quoi je me plains ?! J’en tire une petite allergie (éphémère j’espère) aux femmes enceintes et aux nourrissons tout frais. Cela aura été aussi une bonne piqûre de rappel (malvenue) sur combien je ne kiffe pas la grossesse…

Cela m’aura également appris combien Lucie commence à vraiment bien comprendre ce qui se passe autour d’elle, à enregistrer ce que je raconte à son père et surtout à le ressortir à qui veut l’entendre, aussi compromettant que cela soit…

Alors d’abord ça pique vachement beaucoup le Rophylac. Et puis deuxio j’ai le gras de la fesse sensible moi d’abord ! Et tertio elle veut quoi ?! Ajouter l’humiliation au traumatisme !! La fille de son père ça !

Mistigri le désiré

par Ragnagna le 22 janvier 201822 janvier 2018 dans Entre chat et chiens, Vie de maman

Petit à petit la gamme de jeux de société à laquelle Lucie peut jouer s’agrandit, en même temps que ses capacités et son intérêt.

Cependant, il y a bien un jeu sur lequel je butte totalement avec les règles classiques :

Nan mais c’est vrai, au fond je la comprends, un jeu où on ne veut pas du chat, c’est inepte !!

Mon mari est ingénieur

par Ragnagna le 15 janvier 201814 janvier 2018 dans Ma L♥uve Story

Avec le Chti, la complémentarité doit être une des clés de notre couple, car autant je suis spontanée et impulsive (bordélique et irréfléchie selon une source anonyme)…

… autant lui est emmerdant et psychorigide (rigoureux et méthodique selon la même source anonyme)…

Je dois avoir les patères les mieux alignées de toute ma résidence !

Père veilleur

par Ragnagna le 12 janvier 20186 janvier 2018 dans Avec Papa

 

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