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Ragnagna des Bois Jolis

O.B.N.I. (Objet Bloguesque Non Identifié)

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Mois : janvier 2017

Retrouver le plaisir de se plonger dans un (bon) livre

par Ragnagna le 29 janvier 201719 mars 2017 dans Sur l'étagère d'une bibliothèque, Tranches de vie

Avant même de savoir lire, j’avais le nez plongé dans les livres. Je suis née dans une famille de lecteurs et j’ai grandi entourée de livres, forcément ça laisse une trace ! Je piquais dans les livres de mon grand frère ou de mon père et pendant longtemps j’ai fait la lecture pour mon petit frère le soir. Les sorties Fnac, c’était notre pêché mignon familial : nous partions mes frères et moi en chasse et revenions avec des piles de livres que nos parents nous achetaient sans sourciller.

Bref j’aime lire et je lisais beaucoup… Lisais car un jour je suis devenue étudiante et je n’ai plus eu autant de temps (ni de sous) pour m’allonger sur mon lit la tête dans un bouquin !! Heureusement il me restait les longs transports en commun pour m’évader encore avec un livre…

Puis Lucie est arrivée, et là lire est carrément devenu mission impossible ! J’ai jamais dû aussi peu lire que les années 2015 et 2016. Un vrai désert aride ! Aussi quand le Chti m’a demandée à Noël ce qui me ferait plaisir, je lui ai demandé avec mes yeux de chat potté (ceux où il me dit toujours « laisse tomber, j’ai eu deux sœurs ») une liseuse pour lire dans la pénombre de la chambre de Lucie lors des mauvaises nuits… J’avais toujours déconsidéré l’idée par affection pour le livre papier mais il faut reconnaître que c’est rudement pratique une liseuse… et que depuis je ne décroche plus ! En moins d’une semaine j’ai avalé 3 bons bouquins et j’entame joyeusement le 4e ! Sans compter que mon Papa s’est aussi pris une liseuse et me partage sa bibliothèque comme quand j’étais enfant, à distance ! Merci Papa !

La visite des 24 mois avec le sourire

par Ragnagna le 27 janvier 201730 janvier 2017 dans Tranches de vie

Ce soir c’était le rendez-vous des 24 mois pour Lucie, un examen de routine pour son suivi médical, sans grands enjeux autre que rassurer les parents pour la majorité des cas.

Il faut savoir qu’il y a déjà tout un historique entre nous et sa pédiatre : au premier rendez-vous nous avions été vertement reçu suite à nos 7 minutes de retard (pauvres parents débutants qui n’avaient pas encore compris que pour partir avec un enfant il fallait prévoir plus que 5 minutes de préparation – surtout quand l’enfant en question une fois harnachée et équipée décide de déposer une grosse fleur malodorante dans sa couche toute neuve et propre…) et nous étions repartis avec la fameuse ordonnance pour les premiers terribles vaccins.

Le cœur tremblant nous étions arrivés au rendez-vous suivant, les vaccins dans le sac. Et là ce fut l’apocalypse, le drame, la Bérézina. Bref, on a vacciné Lucie et à partir de ce jour à peine posée sur la table d’examen elle s’époumonait jusqu’à ce que l’on repasse le seuil du cabinet où comme par enchantement elle retrouvait son sourire.

On en a soupé des rendez-vous plein de larmes et de cris de protestations, qu’un vaccin vienne ou non conclure la séance et que des mois se soit écoulés entre les rendez-vous.

Pour le rendez-vous des 21 mois, pleine de motivations et d’espoirs j’avais lu et relu jusqu’à l’overdose à Lucie « Petit Ours Brun chez le docteur », j’avais joué avec elle le rendez-vous avec des figurines de Docteur Ours et Petit Ours Brun, j’avais regardé le dessin animé de Petit Ours Brun chez le docteur. J’avais tout tenté et ça avait marché ! Lucie avait laissé la pédiatre l’approcher, avait très sagement joué avec les jeux proposés, s’était laissée mesurer et ausculter (je vous dit pas le soulagement pour nous).

C’est pourquoi ce soir on y allait plutôt confiant, se disant que Lucie serait dans le même geste (et puis j’avais bachoté à nouveau le sujet avec elle !). Mais on ne pensait quand même pas que ça irait bien au point que la pédiatre sans l’avertir la prendrait dans SES bras pour la mener à la pesée et que notre sauvage Lucie se laisserait faire docilement et aimablement.On était sérieusement comme deux ronds de flan !

24 petits mois, 2 grandes années

par Ragnagna le 26 janvier 20173 février 2017 dans Apprentissages de bébé

Cette nuit cela fait deux ans que Lucie est sortie de mon ventre par la porte dérobée. Deux ans que nous sommes devenues toutes les deux une espèce d’entité à deux têtes…

Il est loin le temps où je pouvais la poser sur un lange par terre et m’affairer par ailleurs, aujourd’hui Lucie est un courant d’air qui trottine, saute, rampe, pas-de-chasse, escalade, … Rien ne l’amuse plus que de se faire courser par son père ou moi dans notre appartement !

Je me souviens encore de mon SMS à son père s’écriant « je crois que Lucie a attrapé la peluche que je lui tendais avec sa main !!! ». Et son père tout ému et si fier à distance !. De ça aussi on est loin, nous qui avons monté à plus d’1m20 tout objet fragile ou dangereux face aux petites mains curieuses de Lucie ! J’ai pu éprouver le système anti-bébé du Doliprane® comme ça (et scoop : ça ne marche pas, elle l’a très bien ouvert !).

Heureusement pour notre santé mentale, Lucie ne mange toujours pas grand chose, donc nous n’avons pas à nous inquiéter outre-mesure de ce qu’elle pourrait avoir avaler au cours de ses pérégrinations. Le côté négatif c’est qu’on a pas le modèle facile du bébé de type « bouffe-tout », celui des publicités Blédina qui avale joyeusement tout ce qu’on lui met devant et en redemande !

Il faut croire que notre fille craint l’empoisonnement même : elle ne veut jamais goûter et préfère nous donner la becquée ! Rien n’y fait, vous coupez en deux un aliment et le manger en mimant le contentement ?  Elle vous tend en souriant la seconde moitié. La mettre avec un enfant de type bouffe-tout pour lui donner des idées ? Elle lui donnera le contenu de son assiette pour lui faire plaisir. Planquer dans ce qu’elle aime des choses nouvelles ? Elle refusera l’assiette en bloc !

Nous avons essayé divers astuces avant de nous résigner à sa liste : pâtes (macaronis ou torsettes), riz, jambon, petit pois, pain (la mie d’une baguette fraîche de préférence), yaourt (uniquement le Danone nature), gourdes de compote de fruits (en gourde seulement, et pas tous les fruits bien entendu !), et lasagnes à la bolognaise. En dehors de ça, c’est le biberon de lait et quelques gâteaux. Ou un carré de chocolat noir piqué dans la réserve de Papy Ragnagna (vous auriez vu nos têtes quand elle a avalé le bout de chocolat noir, elle va avoir un bon équilibre alimentaire celle-là tiens…)

Au rayon des choses qui n’ont pas trop changé, il y a le sommeil : c’est toujours plus ou moins pile ou face, les nuits restent imprévisibles (même si on est loin des cniq mois cauchemardesques qu’on a eu avec des réveils toutes les 2h. Par contre, au moins, elle fait bien une sieste d’1h30 (5 à 6h après son réveil). Mais elle ne s’endort plus seule depuis, je reste jusqu’à son endormissement, j’avoue ne pas oser retraverser une zone de remous… Du moment que la nuit elle se rendorme seule, je veux bien sacrifier un peu de mon temps pour son endormissement… On négociera pour ça plus tard, en attendant je peux lire dans la pénombre avec ma toute nouvelle liseuse numérique !

Ce qui évolue beaucoup en ce moment est son langage, c’est typiquement l’âge. J’avais voulu préparer à Noël une liste des mots que Lucie prononce (je copiais l’idée de Mam’Weena en fait). La centaine dépassée, sincèrement surprise (mais lassée) j’ai arrêté, c’était trop long ! Je ne pensais pas qu’elle connaissait déjà tant de mots !

J’avais tendance à dire qu’elle ne parlait pas avant de faire cette liste car elle n’est pas incroyablement bavarde (surtout face à des étrangers – elle dit son prénom depuis longtemps mais ne répond jamais quand des inconnus lui demandent). Sauf que quand elle a besoin de s’exprimer, elle sait très bien se faire comprendre et associe parfaitement les mots nécessaires, tout en usant et abusant des mots valises comme « ça », « là-bas », …

Depuis peu elle est même parfois un véritable petit perroquet, répétant nos mots ou ceux de ses jouets, avec le même rythme et la même tonalité, comme une chanson.

D’ailleurs, nous ne savons pas pas trop comment cela se fait mais pour le moment nous avons un modèle de politesse qui dit « ponchour » ou « ponchouar » aux joggeurs du parc, « merci » quand on lui donne (et aussi quand on lui arrache ce qu’elle a dans les mains…), mais son préféré reste « au revoir » qu’elle tonitrue ‘même quand il y a personne) avec tant de cœur que les gens pensent qu’elle est pressée de partir  !

Du côté de chez maman, après 2 ans à pratiquer la petite chose, on finit par se connaître et Lucie sait s’exprimer (la plupart du temps) donc je suis beaucoup plus zen et essaye même de renouer avec mes vieilles passions (dessins et lectures). Mais mes doutes et mes peurs peuvent revenir au galop face aux surprises que Lucie nous réserve (des rhumes, des pics de fièvre, des chutes, …) ou aux comparaisons extérieures bancales.

Si j’essaye de lui apporter ce dont elle a besoin pour s’amuser et apprendre, ma confiance peut vite vaciller : est-ce que je lui laisse assez d’autonomie pour apprendre ? Ou bien ne la laisse-je pas trop libre de faire ses expériences à ses propres risques ? Je dois alors me rappeler que l’important n’est pas d’en faire un être d’élite mais de lui donner l’envie d’essayer, la persévérance pour réessayer et le plaisir d’accomplir. (et de toutes façons, depuis cette déplaisante réponse de cette nounou très fière, la mienne aussi elle fait toute seule nah ! Mais elle préfère que ce soit Maman parce que cela va plus haut et plus vite !)

Lucie, malgré ses deux ans et le fameux « terrible two » supposément planant sur nous, reste pour le moment une petite fille formidable, peu capricieuse et énormément dans le partage : c’est un bisou pour Papa, un bisou pour Maman et un bisou pour Lucie, du pain pour Lucie, du pain pour Zaza et du pain pour Poxi. Elle n’aime rien de plus que nous aider à cuisiner, à faire le ménage, à nous moucher, à nous laver les cheveux, à ranger les courses, …

Une formidable petite fille de 2 ans, et cette année est passée bien vite…

Bienvenue à Pismo Beach !

par Ragnagna le 19 janvier 201730 janvier 2017 dans Tranches de vie

Il n’y a pas de petits plaisirs dans la vie : cet aprèm l’électricien a installé dans notre salle de bain un tout beau tout neuf (et surtout tout fonctionnant) chauffe-serviettes ! Très utile avec une petite fille qui arrose la salle de bain à chaque bain et pour éviter à nos serviettes de moisir. Bref, ce soir avec le Chti on était joie dans notre salle de bain toute chaude !!

PS: si Pismo Beach ne vous dit rien, c’est la plage inatteignable pour Bugs Bunny !

Une nouvelle venue dans nos vies

par Ragnagna le 18 janvier 201718 janvier 2017 dans Apprentissages de bébé, Vie de maman

Décembre 2005, c’était bientôt l’hiver, bientôt Noël. Il faisait froid. Il faisait nuit. Dans mon agenda, cette journée était marquée d’une pierre blanche. C’était une de ces journées que j’attendais avec tellement d’impatience depuis juin. Une journée où j’allais pouvoir serrer dans mes bras et couvrir de baisers mon copain, descendu de son Pas-de-Calais pour quelques heures de bonheur. Une de ces journées où je finissais toujours en larmes au moment des séparations sur le quai.

Généralement on errait sans but dans Paris, ce jour-là nous avions atterri aux Galeries Lafayette, plus précisément aux rayons peluches (ce qui ferait dire au Chti bizarrement que tout cela était de mon initiative plutôt que de la sienne). J’y ai totalement craqué sur un ours en peluche, un mignon ours polaire de la marque Nounours. Le Chti me l’avait acheté et offert, pour que j’ai mon ours pour me consoler de l’absence de mon loup, maigre palliatif mais symbole délicat, un de ses premiers cadeaux…PoxinabloQuelques semaines après je retournais seule aux Galeries pour prendre à Poxinablo une copine, Zaza, qui partie dans le train suivant avec le Chti. Et comme Poxinablo et Zaza sont très forts, malgré la distance, ils eurent quelques temps après (par immaculée conception sans doute), un petit ours brun : Pookie.

Cette petite famille ours n’a été réunie qu’en 2008 sur un bout de notre canapé où depuis elle vivotait tranquillement leur vie d’ours, parfois interrompu par un câlin de Plume. À la naissance de Lucie nous avons songé à lui donner Pookie mais elle le dédaignait royalement, préférant largement sa peluche vivante.20170114-photo-zaza-001

Octobre 2015, Lucie se décide à dépoussiérer nos peluches : elle les descend du canapé et les dispose sur son tapis pour s’allonger avec elles et pointer leur nez, leurs yeux, leur bouche, leurs mains, leurs pieds, …20170114-photo-zaza-01Progressivement, Zaza a pris une part de plus en plus importante, Lucie reproduisant auprès d’elle son quotidien, lui donnant le biberon, la mouchant, la promenant, la berçant, la câlinant, la grondant, … telle une petite maman !Une petite maman un peu brutaleEt puis du jour au lendemain Zaza a été de toutes les activités ! J’avoue que cela m’a fait un peu bizarre au début de partager mon repas en compagnie d’une ourse en peluche…Bon app' ZazaMais très vite j’ai saisis les avantages d’avoir une Zaza dans mon équipe pour faire obéir une Lucie un peu distraite :20170109-lucie-zaza-03Le seul qui a un peu fait la tête au final, c’est Papa qui d’un coup a dû partager donner sa peluche à sa fille. 20170109-lucie-zaza-04

« Encore pâtes »

par Ragnagna le 13 janvier 201730 janvier 2017 dans Tranches de vie

Lucie ce midi m’a demandé de la resservir DEUX fois !!!!!!!! Pas une mais DEUX FOIS !!!!! Sapristi !!!!20170113-tranche-de-vieBon rassurez-vous, ce soir, elle a déjà repris ses bonnes vieilles habitudes !

Un appel au secours

par Ragnagna le 12 janvier 201730 janvier 2017 dans Tranches de vie

Lucie finissait de manger quand on sonna à la porte. C’était la vieille maman de notre voisin, tremblante et haletante contre le chambranle de ma porte. Elle me demandait de l’aide… mais ne voulait ni médicaments, ni docteurs, ni appeler son fils…20170112-tranche-de-vieJ’étais bien dépourvue, avec ma fille sous le bras, face à cette dame que je ne connaissais pas, toute dignité abandonnée, hallucinant en Corse, angoissée par sa solitude et dont l’esprit embrumé et le corps chancelant luttaient contre des maux variés et plus ou moins réels.

À un âge où je suis entièrement dévouée à l’accompagnement de ma fille dans ses découvertes, j’ai soudain été face au miroir d’une vieille maman défaillante dont le garçon se retrouvait responsable.

Alors en ce début d’année où il est de bon ton de se souhaiter la bonne année, je vous souhaite surtout une bonne santé. Car c’est quand elle part que l’on se rend compte à quel point elle est précieuse.

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