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Ragnagna des Bois Jolis

O.B.N.I. (Objet Bloguesque Non Identifié)

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Étiquette : anniversaire

Et de deux ! Déjà ?!

par Ragnagna le 12 décembre 201813 décembre 2018 dans Apprentissages de bébé

Pour Lucie les trois premiers mois m’avaient paru interminables, un long tunnel sans fin. Pour Erwan, à l’inverse, le temps file à vitesse grand V !! En même temps entre le quotidien de la grande sœur et les surprises de fin d’année (embolie pulmonaire, pieds-mains-bouche, etc.), j’ai largement de quoi m’occuper !!

Malgré cette course permanente, ça y est je suis totalement fichue, mon cœur fond totalement devant mon grand bonhomme…Mon petit bonhomme à la mine si sérieuse qui me regarde dubitatif tandis que je gazouille béatement…Mais si Maman qui gagate le laisse totalement de marbre… dès que sa sœur vient le voir c’est la fête ! Entre eux c’est déjà une belle histoire. Lucie ne veut plus se baigner qu’avec son frère même si cela implique qu’elle se retrouve à barboter qu’avec les fesses dans un fond d’eau tiède.

Le bain est d’ailleurs le petit plaisir quotidien d’Erwan, son visage s’illumine dès qu’il entre dans la salle de bain et au fur et à mesure où on le déshabille. Allongé à plat dos, il gigote et éclabousse tout en faisant des longueurs dans la baignoire pour aller se coller à sa sœur et l’admirer…

C’est pour le moment un garçon très zen et serein, facile à vivre (à condition d’avoir l’estomac plein !), pour le moment il coche tout nos desideratas !

1 mois d’Erwanou

par Ragnagna le 12 novembre 2018 dans Apprentissages de bébé

Il y a un mois déjà que ce grand bébé est parmi nous. Avec ses 5kg, il ne fait déjà plus trop nourrisson de la dernière pluie (contrairement à sa sœur qui à 1 mois passée facilement pour un perdreau de la journée !).


Avec un tel gabarit, les débuts valent pour moi une séance de musculation (à froid). Je suis littéralement courbaturée de partout !!!C’est fou à quel point les bébés attirent les inconnus dans la rue, et à quel point les gens sont frappés d’amnésie (ou ignorants) sur les joies de la parentalité nouvelle…Mais si nous avons hâte bonhomme que tu grandisses pour pouvoir interagir avec toi (et dormir !!), nous ne devons pas oublier pour autant d’essayer de profiter du tout-petit-toi car le temps défile si vite au final…

Une déclaration, sa déclaration

par Ragnagna le 29 octobre 201824 avril 2020 dans Avec Papa, Mots d'enfant, Ragnagna se marie !

Si j’avais pu en 2015 accompagner le Chti au rez-de-chaussée de l’hôpital pour déclarer notre petite crevette, en 2018 ce super service n’existe plus dans l’hôpital. Aussi le Chti dû aller sans moi à la mairie le lendemain de la naissance afin de faire la déclaration dans le délai de trois jours. Il n’y est cependant pas allé seul : Lucie la super grande sœur l’a accompagné tenant dans ses petites mains nos papiers d’identité, très investie dans sa mission.

L’hôtel de ville de Versailles est construit autour d’un grand vestibule menant à un bel escalier de marbre égayé d’un tapis bleu royal fleur de lysée. Cet escalier majestueux aux marches peu hautes a régulièrement été un jeu pour Lucie dans son apprentissage des marches, il est également l’un des cadres privilégiés pour les photographes de mariages versaillais qui y saisissent leurs jeunes mariés enamourés.

S’il y a un an, à l’occasion d’une exposition sur Yakari, j’avais raconté à Lucie notre mariage, si de temps à autres elle peut voir défiler sur mon écran de veille des photos de son père et moi enamourés en tenue de mariés sur cet escalier, jamais nous n’aurions pensé que cela resurgirait ainsi…

Joyeuses noces de bois (+3 jours) mon amour !

Treize ans à deux

par Ragnagna le 26 juin 201829 août 2018 dans Ma L♥uve Story

Il y a peu d’articles que je prépare, mais celui de l’anniversaire de notre rencontre est un rendez-vous annuel que je n’oublie jamais. Cette année encore l’article était prêt à la date mais il est resté dans les brouillons : avec la disparition de Nifhel nous n’avions pas du tout la tête à la romance.
Je le déterre néanmoins (ça me frustre légèrement à la longue de voir un brouillon fini mais pas publié) et je l’antidate pour le laisser à sa date de publication initiale. Cette méthode totalement anti-audience va, à mon avis, arranger le Chti qui déteste la guimauve amoureuse !

***

Treize ans se sont écoulés depuis ce petit matin frais sur les quais de la Gare du Nord… Que d’eau ont coulé sous les ponts depuis ! Ma grande nièce va dans seulement cinq ans avoir le même âge que nous en ce jour que j’ai marqué à jamais d’une pierre blanche !

Ça me semble être un autre monde… Un autre monde en 256 kbit/s où on pouvait attendre transie d’impatience son amoureux sur les quais d’une gare, un monde où Plume venait tout juste de débouler avec son museau rose dans ma vie, un monde où je n’étais toujours qu’une vieille adolescente profitant de la douceur du nid parental.

Un monde qui me semble si loin aujourd’hui ! La vingtaine a défilé à toute allure entre boulots, apparts, neveux, mariage et enfant. Enfant que notre trentaine débutante va bientôt conjuguer au pluriel…

Mais dans ce monde qui a tant évolué, des choses n’ont pas changées. Je reste cette fille au sourire idiot sur le visage et au cœur sautant de joie quand je le retrouve chaque soir. Je reste cette fille qui a irrésistiblement envie d’embrasser ses lèvres et qui ne peut vivre sans le harceler de 36 messages par journée.

Si je ne suis plus celle qui hurle son prénom et court dans ses bras (il détestait quand je faisais ça !), je suis la mère qui suit cette fillette se ruant dans ses genoux en hurlant « Papaaaa » (curieusement ça il aime bien – bouuuh favoritisme !).

Joyeux treizième anniversaire mon amour !!

(Oui… ma fille est aussi peu démonstrative que son père, sauf – comme son père – avec son chat naturellement !!)

Haute comme trois pommes, grande comme trois ans

par Ragnagna le 26 janvier 201827 janvier 2018 dans Apprentissages de bébé

Une année se termine à nouveau pour ma crevette. Une année riche en nouveautés pour ma petite bouclée : le grand lit en hauteur, Nifhel, l’école, la fin des couches, … En un an elle a encore gagné en agilité et en finesse dans ses mouvements, le terrain de jeu de la maison ou du parc ne suffit plus à son bonheur, dès que possible cette ouistiti sera inscrite à un cours de gym !!!

Son langage lui est de plus en plus clair, avec des adjectifs, des pronoms personnels, des adverbes et des verbes conjugués au présent, au passé composé et au futur proche !!

Elle a mille expressions qui lui sont propres et qui font tout son charme…

Toujours pareille à elle-même, elle reste une petite fille vive et aimable mais je trouve les trois ans plus durs que les deux. C’est peut-être notre nouveau rythme avec l’école qui la fatigue plus et la fragilise émotionnellement ? En tout cas je patauge un peu avec elle en ce moment, elle est débordée par ses émotions, sa grande sensibilité et son bon cœur…

Observatrice et empathique, elle a dû mal à séparer ses émotions de celles des personnes l’environnant, voir des personnages en arrière-plan de son histoire du soir…

Régulièrement à l’heure de la sieste, elle entend Gambas, un chien habitant un appartement voisin, pleurer et il lui faut alors plusieurs câlins et la certitude que Maman Gambas va rentrer bientôt et que Gambas sera contente pour s’endormir rassérénée…

Face à ce trop-plein de sentiments et d’émotions, je la trouve plus anxieuse en général. Et pour tenir, elle intériorise beaucoup et se replie en elle-même. Ainsi malgré que le cinquième mois d’école se termine et qu’elle aime tendrement ses maîtresses et son ATSEM, qu’elle apprécie les activités proposées en classe (à m’en casser les oreilles), elle ne parvient pas encore à se séparer sereinement de moi tous les matins. Elle n’est pas fille à hurler sa peur et sa douleur, à se rouler par terre en s’égosillant tout en prenant un beau teint écrevisse, si elle ne pleure plus autant qu’au premier jour, c’est qu’elle se mord le poing violemment…

À tout prendre, je crois que j’aurai préféré les cris… Si sa discrétion dans son désespoir est très appréciée en société (elle ne fait pas de vague !), il est aussi bien souvent minoré car plus invisible et imperceptible que celui d’un enfant s’égosillant.

Je suis si désespérée à chercher une voie pour l’aider à extérioriser ses sentiments que j’ai voulu tenter le yoga, me disant qu’au pire cela lui ferait des activités physiques sympas. Ça n’a pas fonctionné pour le moment, par contre le hic c’est que depuis elle me harcèle non-stop…

 

Une autre activité que j’essaye d’utiliser pour l’aider et le dessin, essayer d’écrire ou dessiner ses émotions. Et sur ce champ là aussi j’ai vu une évolution avec ses premiers « bonhommes ». Maman étant le centre de sa vie, j’ai même eu l’honneur d’être une de ses premières patates… euh modèle !!!

Heureusement nous avons déjà pour communiquer avec elle, l’échelle du « ça va » qu’elle a créée. Selon sa réponse, on sait si la situation nécessite une intervention immédiate du câlin ou si elle peut repartir d’elle-même.

Trois ans est un vrai âge de transition vers la grande fille, la chipie en joue totalement en étant tour à tour ce qui l’arrange…

Les héros qui ont accompagné ma petite grande cette année ont été de plus en plus nombreux, avec une assez belle constance dans l’année mais une passion de plus en plus vive…De cette année écoulée je pense que Lucie conservera deux choses dans son cœur :

  • en premier lieu – et avant tout – l’arrivée de Nifhel et de Nùmenor dans sa vie, ses deux amours félins. Nifhel est pour elle un alter-ego, un ami fidèle, une peluche vivante. Je ne peux tout simplement pas m’occuper de Nifhel quand elle est là car elle doit tout faire : les croquettes, lui ouvrir la porte, jouer, le brosser, …

 

 

  • autre fait marquant inoubliable : elle est montée sur un âne !!!! Elle nous en reparle souvent et n’attend que le moment où elle pourra recommencer !

 

Une année qui se termine, et une nouvelle année qui commence. Nous sommes parés pour une année de plus auprès de notre Castafiore rossignol préféré !

L’ironie dans ma vie

par Ragnagna le 25 janvier 201826 janvier 2018 dans Tranches de vie

Il y  a 3 ans je partais en urgence au bloc, je n’avais aucune idée du niveau de déchéance qu’atteindrait ma vie trois années après…

Tout ça pour la faire uriner avant d’aller se coucher ! On est prêt à toutes les ruses quand on devient parents !

Schrödinger

par Ragnagna le 24 janvier 201823 janvier 2018 dans Ma grossesse : Un polich'tinelle dans le tiroir

Début décembre dernier nous avons eu comme un goût de déjà-vu : une fatigue écrasante, ma poitrine douloureuse au réveil et qui gonfle, mes règles qui se font attendre, … Bref tous les indicateurs d’une nouvelle grossesse était là ! Pour confirmer le tout par principe, je fais le classique pipi sur bâtonnet à capuchon rose layette. Deux barres qui s’affichent, bref c’est parti !

Si pour Lucie nous étions déjà un peu pétés de trouille, nous ignorions encore réellement ce pour quoi nous signions : cette fatigue écrasante face à ces nuits sans sommeil, les petits et grands bobos, cette éreintante demande constante d’attention et de surveillance, ces trésors de diplomatie à inventer et déployer, … Bref tout le sel sans glamour de la vie de jeunes parents !

Et pour le deuxième, à toute cette liste s’ajoute les besoins de l’aînée ! À la lecture du résultat attendu et désiré, on est juste triplement pété de trouille…

Mais à côté de la trouille, le rêve commence aussi, on imagine, on se prépare pour ce jour du mois d’août 2018…

Je retrouve la routine de la femme enceinte avec mes deux premières prises de bêta-HCG à 48h d’intervalle pour confirmer la grossesse  : cette « DDR » (date des dernières règles) que l’on me demandera avant chaque rendez-vous ou examens, ces prises de sang mensuels (car j’ai eu la mauvaise idée d’oublier d’attraper la toxoplasmose avant – pourtant, croyez-moi, je m’applique : je ne nettoie pas particulièrement mes légumes, je préfère la viande saignante et j’ai des chats qui sortent et dont je nettoies le bac à sciures depuis que j’ai 12 ans !!!). Bref les petites trucs de la grossesse…

Puis, le 19 décembre, les résultats tombent, comme un couperet…

 

Entre le rayon des liquides vaisselle et celui des éponges, nos rêveries s’effondrent. Les taux de bêta-HCG n’évoluent pas assez vite. Trois hypothèses à cette heure s’ouvrent à nous :

  • au mieux je fais partie des femmes avec des taux qui évoluent anormalement sans que cela compromette la grossesse ;
  • plus probablement la grossesse est non évolutive et je devrai expulser naturellement l’œuf, ou alors aller réaliser une interruption médicale de la grossesse ;
  • dans le pire des cas l’œuf se développe hors de l’utérus et je vais devoir être opérée en urgence.

À quelques jours des fêtes de Noël, c’est la douche froide. Ma semaine marathon avec Lucie sous le bras commence alors, entre l’école, l’expédition avec valise et pains de glace pour rapporter la viande de Nifhel, passage chez la gynéco pour des nouvelles ordonnances, prises de sang et échographie.

Je ne sais pas si je dois me ménager ou si c’est peine perdue… Chaque déplacement m’angoisse : et si la fausse couche se déclenche alors que je suis partie loin à pieds avec Lucie ? Dans le doute, je mets par sécurité dans mon sac à main une couche et une culotte propre pour moi, à côté du change de Lucie. Je paranoïse à chaque instant à chaque petites choses que je ressens et perçois comme anormal, à en rendre dingue le Chti !

Au 21 décembre tristement les bêta-HCG ne s’envolent pas mus par un miracle particulier, ils continuent de stagner. Tout espoir est pour nous perdu. À ce stade, on espère juste éviter l’hospitalisation à cause d’une éventuelle grossesse extra-utérine pour ne pas gâcher ce Noël qui arrive et que Lucie attend avec tellement d’impatience et de joie.

C’est la mort dans l’âme que j’attends mon rendez-vous pour l’échographie et donc la confirmation définitive de la non-viabilité de ma grossesse. L’attente au milieu des futurs parents enamourés caressant tous ces ventres ronds et couvant de regards rêveurs ma petite fille sagement assise à mes côtés s’appliquant sur ses gommette tient de la torture. Arrive mon tour…

La bonne nouvelle ! Enfin une bonne nouvelle ! On peut partir pour les fêtes sans s’inquiéter outre mesure, on aura pas à annoncer à Lucie que Noël sera une autre année !! Mais aussi l’espoir fou qui renaît… et si ? Pour Lucie la médecine n’avait rien vu, peut-être que je suis un numéro bizarre qui fait mal mais que ça marche quand même ? J’ai rendez-vous deux semaines plus tard, le 3 janvier, pour suivre l’évolution, avec les fêtes difficiles de faire plus vite.

D’ici là, c’est l’attente, angoissante et interminable. C’est à ce moment là qu’on a décidé d’appeler ce petit truc « Schrödinger », car plus que jamais on ne savait pas si c’était mort ou vif à l’intérieur de mon utérus. Les fêtes de Noël passent, Lucie déclenche sa varicelle (c’est bien ma fille ça : tomber malade pendant les vacances !), l’anniversaire du Chti arrive et ce même jour, le 30 décembre à 6h du matin, Schrödinger aussi…

J’ai bien choisi ma date, on s’en souviendra de cette anniversaire là ! Lui à la maison avec Lucie et ses boutons, et moi aux urgences pendant plus de 4h pour attendre ma piqure de Rophylac (et oui ça m’apprendra à ne pas être – rhésus – positive…)

C’était le moins pire des pires cas, je suis heureuse que ma fausse couche se soit déclenchée spontanément, je ne voulais pas aller à l’hôpital pour la déclencher. Tout du long le personnel médical a été plutôt sympa avec moi et mes petits hauts et bas. Un mois après j’ai déjà l’impression qu’une année nous sépare de ces longues heures.

Comme disent les anglophones « shit happens » et « c’est la vie ». On aurait aimé que cela soit autrement mais c’est une histoire douloureusement classique : il suffit d’en parler pour entendre combien l’on est nombreux à traverser cette épreuve. Je suis assez jeune pour pouvoir retenter avec le Chti, j’ai déjà Lucie (et si besoin je m’en contenterai), ma santé n’a pas été compromise, de quoi je me plains ?! J’en tire une petite allergie (éphémère j’espère) aux femmes enceintes et aux nourrissons tout frais. Cela aura été aussi une bonne piqûre de rappel (malvenue) sur combien je ne kiffe pas la grossesse…

Cela m’aura également appris combien Lucie commence à vraiment bien comprendre ce qui se passe autour d’elle, à enregistrer ce que je raconte à son père et surtout à le ressortir à qui veut l’entendre, aussi compromettant que cela soit…

Alors d’abord ça pique vachement beaucoup le Rophylac. Et puis deuxio j’ai le gras de la fesse sensible moi d’abord ! Et tertio elle veut quoi ?! Ajouter l’humiliation au traumatisme !! La fille de son père ça !

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